Des choses à dire...

Avertissement:
Ce blog contient des textes à caractère sexuelles.


Homphobes, racistes
et tout emmerdeurs à venir je ne vous retiens pas!!

Bon vent!

 
Vendredi 18 juillet 5 18 /07 /Juil 17:04

3) La pièce de SM

 

Cela ferait bientôt quatre mois que Ményl travaillait dans le manoir des Blackwood pour le confort personnel de Nan. Celui ci l’avait soumise à toutes sortes de caprices et le dernier en date était de le doucher.

 

Entre temps, la jeune fille avait fait la connaissance de la belle mère de celui ci. Elle avait débarquée d’Amérique après un tour du monde « expiatoire » comme elle l’avait dit. En la rencontrant, elle s’était rendue compte qu’elle connaissait très peu de choses à son sujet. Celle ci, une jeune femme d’environ vingt quatre ans aux courts cheveux blonds et à l’allure magnifique, exerçait une profession de mannequin. La jeune fille avait tout de suite perçu le lien qui unissait Nan et sa belle mère. Elle semblait veiller sur lui et beaucoup l’apprécier mais lui s’en contrefichait ne se souciant que de lui mener la vie dure.

 

  •  

  • Tu ne voudras sans doute jamais le croire, mais Sylvia a également été une de mes esclaves attitrées.
  •  

Tandis que l’eau s’égouttait du robinet, le jeune homme se courbait afin que Ményl vêtu d’une très léger short et d’une brassière sans bretelles lui frottait le dos avec un gant. En effet, elle n’y croyait pas. Qu’allait il lui dire ensuite, que son père l’avait trouvé à son goût et qu’ils se sont mariés.

  •  

  • Hélas, mon père l’a trouvée à son goût et ils ont finis mariés.
  •  

La jeune fille sourit intérieurement, ce qui ne lui était pas arrivé depuis un moment. Néanmoins, elle remarqua le rictus du visage de Nan. L’évocation de son père semblait le déranger.

 

Elle évita d’y prêter attention et se remît à lessiver son corps musculeux. Ses doigts s’arrêtèrent sur son ventre d’ou elle pouvait palper les abdominaux plus que visibles. Elle allait retirer sa main quand celui ci l’attrapa et la plongea dans l’eau.

  •  

  • J’ai décidé que pour le cours de toilette d’aujourd’hui, tu découvrirais ce qu’est un homme. Pour commencer, apprendre à nettoyer cette partie délicate.
  •  

Ményl tiqua, jusqu’à présent, elle s’était contentée de lui faire une toilette très superficielle de la partie visible du corps. Pour ce qui était de la partie anatomique privée, il s’était toujours débrouillé. Elle ne se sentait pas de faire cela.

  •  

  • Qu’il y a t’il ? commença Nan
  •  

     

  • Je n’ai jamais connu d’hommes, je ne sais pas… je…
  •  

     

  • Tu feras ça très bien.
  •  

Il s’allongea et posa sa tête contre le rebord de la baignoire, il lui désigna le savon et un autre gant.

  •  

  • Tu décalottes puis tu nettoies délicatement la surface.
  •  

Ményl inspira à fond. Jamais durant ses dix sept logues années elle n’aurait jamais pensée se trouver dans ce genre de situation. D’un autre côté, c’était une exigence de Nan et durant ces quatre mois, elle avait appris à ne pas le remettre en question.

«  Dis toi que c’est une épreuve ; après ça tu pourras tout surmonter car rien n’aura été aussi humiliant !» pensa t’elle.

 

Elle saisit son instrument dionysien entre ses doigts fins et entreprît d’ôter e prépuce pour savonner le gland.

Au fur et à mesures de ses gestes mesurés et hésitants, elle sentît son sexe enfler et le lâcha brusquement. Nan qui adorait cette sensation se releva.

  •  

  • Dommage, tu faisais ça si bien !
  •  

Sur ce, il marcha jusqu'à la douche pour se rincer. Quand Ményl entendît couler l’eau du siphon, elle posa sa tête contre le rebord de la baignoire et gémit un instant sans pouvoir pleurer.

  •  

  • Tu rangeras ma chambre ce samedi ! dit il depuis la vitre ou apparaissait son corps flou.
  •  

*

La samedi arriva sans que l’adolescent ne pût humilier davantage Ményl pourtant, celle ci ne se sentait pas d’humeur. Toute sa bonne attitude avait disparu avec le temps passé aux côtés de Nan ; sans compter qu’elle devait assumer ses fonctions de boniche et suivre ses cours en même temps à savoir que son niveau restait stable en cours même si celui de Nan et des autres étaient en progrès. Elle ne trouvait plus le temps d’étudier ou de réviser.

Elle soupira en parvenant à la chambre de Nan ; tout était passé trop vite. Trois semestres dont cinq sixième étaient déjà écoulés. Les examens total avaient eu lieu. Elle attendait ses résultats mais pour l’instant il fallait nettoyer.

 

La chambre de Nan sentait bon ; une douce odeur de cannelle embaumait l’espace de ce sadique. Des meubles en bois vernis trônaient de ci de là. Et tout semblait surtout très organisé. Il fallait simplement faire la poussière et c’est ce qu’elle allait faire à main nues étant donné que ce radin n’était pas fichu de s’acheter un aspirateur.

Brusquement elle se mît à détester cette maison qui lui avait d’abord plue puis qui l’avait entraîné peu à peu vers cette condition.

Elle prît un plumeau et commença par épousseter les livres de la bibliothèque de monsieur. Elle prît un livre dont elle lût le titre. « Soumission totale » ; un autre ou était écrit « Domination obscène » la convainquît de laisser sa lecture au jeune homme. Son instrument propreté à la main, elle s’attaqua à une statue qui représentait un homme donnant du fouet à un corps allongé. Elle effleura la statuette et à sa grande surprise, une porte dérobée apparut tandis que coulissait la bibliothèque. Un escalier éclairé de lampes allogènes le long des marches lui fît comprendre que c’était un endroit aménagé particulier.

Dévorée de curiosité, elle hésitait entre s’y rendre ou rester à sa place et refermer tout ça. « Souviens toi, c’est ta curiosité qui t’as mis dans ce pétrin » pensa t’elle mais la tentation était trop forte. Elle referma la porte en s’y promettant de jeter un coup d’œil quand Nan serait absent pour une longue durée.

 

Elle eut cette opportunité quand celui ci dût s’absenter tout l’après midi avec sa belle mère. Alfred était en congé et la maison lui était livrée à elle seule ; il fallait en profiter.

Elle patienta trois minutes le temps de voir la limousine disparaître au coin de la rue et remonta dans la chambre de Nan.

Elle fît coulisser le double battant et vît apparaître à nouveau les spots hallogènes, ses pas la menèrent jusqu'a une salle ou tombait une lumière crue. La pièce était sombre, spacieuse et apparement la lumière diffuse avait pour but de créer un environnement propice à l'angoisse.

Excellent! déclara la voix glaciale de Nan

La jeune fille se raidit. Il ne pouvait pas déja être revenu; elle se rendît compte au bout d'une écoute prolongée et minutieuse qu'il s'agissait d'un enregistrement qui provenait de la table sur laquelle étaient entreposés plusieurs objets destinés au sadomasochisme.

Elle continua d'avançer et observa minutieusement les objets déposés sur la table. Différents fouets destinés à des dressages spéciaux devaient servir à Nan quand il accueillait ses amis.

Subitement, elle sentît une pression douloureuse au niveau de la cheville.

Elle poussa un cri tandis qu'elle baissait la tête pour se rendre compte qu'il s'agissait d'un piège à loup à l'embout plastifié.

Très vite Ményl paniqua, il fallait qu'elle se sorte de ce nouveau piège car à peine Nan serait il revenu qu'il n'hésiterait pas à buser de la situation.

Assise sur le sol en pierres médiévales dures, elle tentait en vain de retirer cette entrave qui l'empêchait de bouger. Lentement, elle sentît une mince aiguille s'incruster dans sa cheville.

- Une injection? Il avait tout prévu? dit elle presqu'en larmes

- C'est possible! dit la voix de Nan

Elle le vît descendre l'escalier l'air triomphant vêtu d'un étrange costume de sado latex. Il sourît en dardant sur ses cuisses son regard lubrique.

- Tu ne comprendras jamais? dit il en riant

Ményl tentait toujours vainement de se dépatouiller de ce piège mais se figea en percevant uneintense chaleur l'envahir. Elle se sentait progressivement assaillie par une torpeur euphorique et ses seins lui démangeaient. Que lui avait fait Nan?

Elle ne parvînt pas à garder ses cuisses fermées plus longtemps et s'asseya sur le dallage tandis que Nan s'agenouillait d'un pied devant elle. Il approcha son visage si près du sien qu'elle pût percevoir son doux souffle mentholé.

- On a des envies? dit il en lui mordillant l'oreille.

Elle se mît à gémir non pas à cause de cette seule caresse mais à cause du produit qui forçait son corps à réagir à tout contact.

Nan s'en réjouit lissant sa fine culotte, il y enfonça légèrement le doigt arrachant à la jeune fille un cri proche de l'extase.

- Qu'est ce que... vous m'avez droguée? s'exclama 'elle

- Ne sois pas aussi crûe! Je t'ai stimulé... avec un puissant aphrodisiaque à base de ylang-ylang

Un vague souvenir envahit la jeune fille. Elle avait étudié cette plante et ses propriétés excitantes en cours de botanique.

Que voulait il lui faire?

- Ne t'inquiètes pas, tu vas adorer!

 

Quand Ményl revînt à elle, elle se sentait nauséeuse, son corps agité par de vagues excès de chaleurs. Un étrange picotement titillait son entrejambe tandis qu'elle tentait de se souvenir de ce qui s'était passé.

Elle se rendît alors compte que ses bras étaient attachés, écartés en croix sur un immense X en bois. Ses jambes libre de tout mouvement ne générait en elle qu'une série de sensations variés dûes au bois râpeux sur lequel ses fesses rebondissaient.

- Suce ça! dit Nan en approchant son sexe enflé du visage de la jeune fille.

Celle ci tourna la tête pour éviter de croiser du regard cette virilité encore mal connue. Une intense douleur se repandît bientôt sur l'intrieur de sa cuisse s'extériorisant par un cri douloureux.

Nan retira sa tapette d'un geste lent et s'assît sur le torse de la jeune fille allongée sur l'outil masochiste. Il enfouit son pénis dans la bouche chaude et gluante de la jeune femme.

Celle ci n'eût d'autre choix que de satisfaire l'adolescent, se pliant au jeu débridé auquel il la soumettait, usant de tous les mouvements de langues possibles afin d'accentuer son plaisir et le faire parvenir à l'instant tant recherché.

Elle setît bientôt une substance chaude, visuqueuse et blanche se répandre dans sa bouche allant jusqu'a sa gorge.

Le maître des lieux se retira dans un gemissement de plaisir. Il effleura du bout de son fouet le sein rond et ferme de Ményl.

Son arme clqua sèchement dessus tandis que la jeune fille tentait de recracher la chaude semence du jeune homme. La dîte tapette était en fait un plat octagone fait d'émailles de fer recouvert d'une épaisse couverture de cuir. Le tout dréssé sur un baton d'ivoire long de soixante dix centimètres en tout.

Il se dégagea du corps de Ményl et entreprît de visiter son intimité, s'agenouillant pour mieux glisser la tête entre ses cuisses.

- Tu es humide Ményl... c'est bien . Je suis très content de toi!

La jeune fille ne répondît pas, probablement trop secoué par l'éjaculation buccale du jeune homme. Ce n'est que quand elle sentît une tige dure et froide taquiner son clitoris qu'elle parvînt à balbutier quelques mots de dissuasion.

- Pas ça s'il vous plaît! fît elle avant de se mordre la lèvre en ressentant la pression plus forte de l'arme sur son appendice dur et humide.

Puis la langue de Nan se referme dessus l'englobant dans un tourbillon de sensations inédites.

Quand celui ci releva la tête vers elle, elle était en nage, la langue pendante attendant la fin de son supplice.

Mais il n'était pas de cet avis; il actionna un levier qui fît basculer le corps de la jeune fille sur l'échafaud en croix.

- Pour l'instant tu n'as fait que t'amuser en te livrant aux plaisirs de la chair. Je dois te puni Ményl Oklahoma.

Celle ci redouta ces quelques mots et eût raison de son pressentiment en sentant s'abattre un coup violent sur son ventre en leger amont de son pubis.

L'exclamation douloureuse de son esclave arracha au jeune homme un immense sourire de satisfaction. Réitérant son geste, il lui asséna une série de coups de fouets aux divers endroits les plus sensibles de son anatomie. D'abord sur les cuisses puis sur ses fesses pulpeuses pour enfin s'arrêter sur ses seins.

Il s'arrêta en fin pour observer une Ményl en larme et essouflée.

- Par pitié... arrêtez. demanda t'elle à bout de souffle

- Que j'arrêtes alors que tu m'excites comme jamais?!

En effet, elle pût se rendre compte du degré d'excitation que pouvait procurer à Nan la vue de son corps souillé et meurtri par le fouet.

- Tu n'as peut être pas remarqué mais je suis un grand fétichiste. dit il en léchant la pointe de sa tapette.

Il s'avança vers elle et glissa un doigt entre la fente de ses fesses cherchant le minuscule interstice par lequel il aurait plaisir à enfonçer sa dague.

Une exclamation de sa soumise lui indiqua qu'il l'avait trouvé. Celui ci peota un de ses seins avant d'écarter les fesses de Ményl à l'aide de ses doigts.

Il y posa délicatement le manche de la tapette et entreprît de le faire entrer.

- Ah non! Pas ça arretez! dit elle en se débattant

Mais Nan ne l'écoutait pas, son esprit focalisé sur cet ultime acte de dépravation il fît entrer l'objet sèchement.

Un soubresaut parcourût Ményl tandis que les larmes affuaient à nouveau de ses yeux. Après une série de va et vient lent et douloureux,il ôta le bout d'ivoire de l'anus légèremment ensanglanté de l'adolescente.

 

Ményl sentît malgré toute la ouleur qui parcourait son corps une certaine euphorie; deux bras la saisirent au niveau des cuisses et des avants bras pour la porter elle ne sait ou. Elle peinait à ouvrir les yeux craignant de devoir affronter à nouveau une folie débridée de Nan. Puis elle sentît qu'on l'allongeait et de légers picotements traversèrent son corps.

Quand elle ouvrît les yeux, elle se rendît compte que Nan appliquait une sorte de baume sur les parties marquées par le fouet.

- Tu es vraiment une esclave d'exception! dit il en embrassant son nombril. Mais plus encore qu'une esclave domestique tu deviens mon esclave sexuel.

Que pouvait elle répondre? Dès le début il l'avait piégé, son but final étant sans doute de faire d'elle une créature assouvie et soumise de façon inconditionnelle.

- Tu es encore vierge et je respecte ça.

Il se leva et se dirigea vers la porte. Ményl n'en revenait pas de e qu'il venait de dire. du repect! pouvait il réellement respecter qui que ce soit?

- En tout cas pour l'instant... dit il le dos tourné et la porte se fermant derrière lui dans un bruit sinistre.

 

 

 

Par Lyam - Publié dans : Slave (fini)/ SM
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  • : 08/07/2008

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