Des choses à dire...

Avertissement:
Ce blog contient des textes à caractère sexuelles.


Homphobes, racistes
et tout emmerdeurs à venir je ne vous retiens pas!!

Bon vent!

 

Slave (fini)/ SM

Mardi 18 novembre 2 18 /11 /Nov 02:57

Luxure/7

-     Tu veux continuer ? me demanda Safran surprise.

J’hochais la tête, j’éprouvais depuis cet après midi me besoin irrépressible de parcourir son corps, le posséder, découvrir ses secrets...

D’une certaine manière, j’espérais qu’elle me parle, de ses malheurs, de cette tristesse qui emplissait ses yeux.

-     Et si je ne veux pas ?

Je la saisis par les hanches et fît couler ma main dans sa sublime chevelure de jaïs.

-     Je saurais t’y obliger. Dis-je tendrement avant de l’embrasser.

Elle se laissa faire et se coula dans le lit m’entraînant avec elle. Je sentais mon torse écraser sa douce poitrine et sa main enserrer ma nuque dans une tentative d’approfondissement de baiser.

Nous finîmes par nous décoller, un mince filet de salive s’écoulant de nos lèvres. J’entrepris de détacher son chemisier dans le but de libérer ses seins, elle n’y opposa aucune résistance et écarta ses bras, fermant les yeux pour mieux savourer qu’exerçaient mes mains sur son corps avide de tendresse.

Quand ce fût mon tour de me dévêtir, je freinais mes ardeurs ; Safran n’était pas un jouet dont je disposais, elle avait des sentiments que je ne devais pas forcer...

-     Pourquoi tu t’arrêtes ? me demanda-t-elle en se caressant une longue mèche de cheveux.

Je ne répondis pas, je la plaquais contre le lit et m’emportais.

-     Arrêtes de jouer les nymphos, c’est quoi ton problème ?

-     En ce moment toi. Dît-elle honnêtement

Je la relâchais pour me redresser, descendît du lit et me dirigeais vers la porte, je me retournais pour la regarder, mais elle avait baissé la tête, se couvrant d’un fin drap blanc.

A peine fus je sorti que je vis Céline qui se dirigeait vers la chambre. Elle parût surprise de me voir ici et je me dis alors que si nous avions poursuivi, elle m’aurait trouvé en une inconfortable position.

-     Mérick ? Qu’est ce que tu fais là ?

-     Depuis quand je ne peux plus discuter avec ma cousine ?! Et toi tu vas faire quoi là.

-     Des trucs de filles, tu ne comprendrais pas... dît elle d’un ton hautain.

« Hmm ! Des trucs de filles... » Pensais je en la voyant refermer la porte.

*

-     Ne me touche pas ! hurla-t-elle

Je rabaissais mon bras pour ne pas la contrarier, elle me marcha sur la main avant de s’en aller. Je restai allongé au sol, attendant qu’elle revienne mais elle ne revînt pas. Je su pas précisément combien de temps je restais plaqué contre ce dallage noir, mais je me souvins de la voix d’Anis.

-     Monsieur... dît sa douce voix

Elle me regarda docilement comme si j’eusse été le maître dans cette position honteuse. Elle me détacha et me passa une couverture.

-     Elle est partie, elle était particulièrement contrariée aujourd’hui.

De là je comprenais son insensibilité et sa totale indifférence à mon égard. Ce n’était donc pas moi qui la décevais. Elle m’aida à me relever, je grimaçais, le corps parcourût de coups de fouets. Elle m’avait laissé une marque sanglante sur la côte...

Anis me conduit jusqu'à ma chambre ou elle m’allongea sur mon lit avant de se retirer pour aller chercher de quoi me panser. Pourquoi avait elle été si violente ? Qui était-elle ?

-     Aïe ! gémis-je en sentant l’alcool sur ma peau

-     Pardon ! s’excusa-t-elle

Je lui offris un magnifique sourire rapidement remplacé par une grimace. Elle apprécia le geste et m’en rendît un en échange. D’un geste minutieux, elle continua à guérir ma peau abîmée puis quand elle eût terminé, elle entreprît de se retirer, mais je la retins par le bras pour l’obliger à se rasseoir.

-     Dis-moi qui est ta maitresse ? demandais-je

Elle tourna la tête, de toute évidence, elle ne pouvait rien dire. J’accentuais la pression de ma main sur son bras.

-     Parle ! ordonnais-je

-     Vous me faîtes mal. Se plaignît-elle

Je la relâchais conscient de mon acte de force. Etait ce traitement qui me rendait ainsi ?

Elle quitta la salle en me priant de faire appel à elle si besoin il y avait.

*

Celine se laissa tomber sur le sable fin. Les mains baladeuses de Safran la parcourant avec une tendresse infinie.

Elles s’étaient éclipsées discrètement de la sortie à la plage organisée par Mérick. La jeune fille voulut empêcher Safran de lui ôter la minuscule culotte qu’elle portait en guise de maillot.

-     Détends-toi, personne ne viendra ici. Dît-elle

Elle se laissa faire et cabra ses reins pour qu’elle puisse la lui enlever plus facilement.

-     Tu es magnifique ! dit elle face à son sexe

Elle le toucha di bout des doigts comme si elle découvrait quelque chose de fragile. Celine se mordît le doigt, jamais elle n’avait été aussi sensible. Safran déplia les grandes lèvres en les tenants des deux doigts et Céline pût sentir son souffle sur les nymphes.

Son clitoris l’élançait au point d’en être douloureux. Qu’attendait-elle pour continuer ?

La jeune fille releva la tête et contînt un cri. A l’entrée de la crique ou elles se trouvaient, se dressaient l’ombre de Mérick.

 

-     On peut en parler Mérick ?

Je l’invitais à entrer, elle s’assît sur le bord de son lit. Je refermais mon ordinateur portable.

-     C’était très gênant tout à l’heure. Confia t’elle

-     C’est vrai...

-     C’est assez bizarre ce qui arrive. Je veux dire, je ne pensais pas éprouver ce genre d’attirance, mais le contact avec Safran... C’est tellement...

-     Excitant ? complétais-je

-     Oui ! C’est ça ! avoua t‘elle

En un sens je comprenais parfaitement tout ce qu’elle pouvait ressentir, j’éprouvais les même sentiments vis-à-vis de ma maîtresse.

-     Allez viens là ! dis je en l’enlaçant

Elle me sauta littéralement dessus. Que croyait-elle ? que je lui reproche son attrait pour les femmes ?

J’étais bien maso...

Par Lyam - Publié dans : Slave (fini)/ SM
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Jeudi 13 novembre 4 13 /11 /Nov 19:45

15) Trois longues années

Ményl se réveilla confusément. Elle perçut le corps musclé de Nan contre elle avant de réaliser que c’était Minerve qui lui tirait la manche.

Elle était allongée dans le canapé la tête posé contre le buste de son ami.

-          Oh bonjour chérie… excuse moi, je n’ai pas encore préparé le petit  déjeuner.

Elle posa les yeux vers Nan et entreprît de le réveiller mais d’une manière plus douce. Pour ce faire, elle monta sur le canapé et l’embrassa trois fois sur la joue.

Celui-ci ouvrît un œil puis un deuxième avant de constater que la douce silhouette de Ményl avait été remplacée par une copie miniature.

-          C’est vous Monsieur Non ? Vous êtes plus beau que le monsieur à la télé C’est pour ça que maman vous a choisi ; vous êtes gentil au moins ? Parce que mon papa ne l’est pas.

Nan regarda Ményl d’un œil interrogateur. Elle tourna la tête avant de se diriger vers la cuisine. Nan plaça le petit ange sur ses genoux avant de lui demander.

-          Tu as quel âge ?

-          Quatre ans. Dît-elle. Mais je suis déjà une grande fille.

-          J’en suis certaine. Fît-il en lui ébouriffant les cheveux.

*

-          On n’a pas fini de discuter il me semble. Fît remarquer Nan tandis que Ményl s’apprêtait à aller prendre un bain.

-          J’ai besoin d’un bain chaud. Fît-elle remarquer

-          Parfait, on n’a qu’à le prendre ensemble comme avant. Répondît-il

Elle le jeta hors de la chambre avant de refermer la porte. Puis se coula dans son bain en se remémorant la discussion de la veille. Ils avaient passés la nuit à discuter, de leurs vies durant les trois années qui les avaient séparés.

-          Ményl, tu veux me dire la vérité ? Cet enfant n’est pas de toi. Je le sais car dès que je t’approche je repère la fine aura de ta virginité. Avait il dît en l’embrassant dans le cou.

-          Après ton départ, je suis reparti avec Thierry. C’est la que j’ai découvert que ma sœur était enceinte et pas de n’importe qui, je sens que tu vas te réjouir.

Nan marqua un temps d’arrêt et entreprît de la regarder dans les yeux. La jeune femme ne daignait pas l’affronter, conservant son regard à même le sol.

-          Elle est morte pendant l’accouchement.

Sa voix s’était mise à trembler en même temps que son corps. Il tenta de la calmer en lui soufflant quelques mots doux à l’oreille.

*

Trois ans plus tôt, Ményl avait découverte que sa sœur avait eu une liaison avec Thierry peu de temps après leur première rupture .Elle en avait d’abord voulu à sa sœur puis c’était dit que cela n’avait aucune importance.

Thierry n’égalait pas Nan. Elle s’en fichait. Quelques mois plus tard, sa sœur décéda en donnant naissance à une magnifique petite fille. Elle se promît alors de tout faire pour la protéger. C’est ainsi qu’elle passa ses trois années à élever ce petit être, lui prodiguant le trop plein d’amour qu’elle n’avait pû donné à Nan. Ou a quiconque après lui…

-          Tu n’as rien a regretter. Dît il

-          Je n’ai pas dit ça. Minerve est la plus belle chose qui me soit arrivée.

-          Et moi ? demanda t’il

-          A toi de me dire, si tu pensais que tu n’étais pas important dans ma vie, tu ne serais pas revenu. Tu dis être revenu pour moi. Prouves le moi Nan. Qu’est ce qui t’empêche de le dire ?

Il lui caressa la joue avant de prendre ses lèvres pour lui murmurer du bout des lèvres un « je t’aime » frissonnant. Ményl ne pût que sourire et l’embrasser à nouveau.

-          Moi aussi. Fît elle. J’attends ça depuis tellement longtemps.

Il joignirent leurs lèvres encore une fois s’assurant bien qu’ils ne rêvaient pas cet instant comme ce fut le cas toutes ces années.

Ils se marièrent, vécurent heureux et eurent beaucoup d’enfants.

***

Sérieusement, je ne vais pas clore cette magnifique idylle de la sorte.

-          Il est temps de payer Nan ! dît Ményl en s’asseyant su son ventre.

La jeune femme l’avait délicieusement attachée aux barreaux du lit de sorte que son corps entièrement nu soit écrasé par le sien.

-          Tu m’appartiens désormais. Fît elle en se penchant vers ses têtons pour les mordiller. Il ne pût retenir un râle en sentant la pression de ses dents sur sa chair.

Celle-ci avait glissé sa main vers son entrejambe pour la saisir dans un léger mouvement de va et vient. Puis prenant bien soin de frotter son corps contre celui du jeune homme, elle fît remonter ses lèvres vers les siennes, les happant lentement en un passionné baiser.

Nan sentait sa ferme poitrine contre son torse et cela ne faisait qu’accroître son désir de plus en plus intense. Ményl continuait d’exercer ses talents manuels, se décollant légèrement pour observer le pouvoir qu’elle exerçait sur lui. Il ne pouvait s’empêcher de gémir sous l’effet de ses douces caresses.

-          C’est si bon que ça ? demanda t’elle avec un sourire.

Il répondît par un signe de tête. Elle jubilait satisfaite de sa dépravation. Il était temps de passer à un tout autre niveau. Elle se glissa le long du lit vers son membre dur avant de le happer dans sa bouche.

Les râles de plaisir de Nan l’encourageait à poursuivre plus avidement. Elle alla même jusqu’à caresser l’entrée de son anus.

-          Qu’est ce que tu fais ? parvînt il à bredouiller entre deux gémissements.

-          Je veux t’entendre m’implorer…

-          Quoi ?

Et sans prévenir, elle parvînt à enfoncer son doigt dans  (euhm pardonnez moi l’expression) «  son trou de balle ».

Son sexe se raidît un peu plus sous la pression du geste. Tandis que la jeune femme observa stupéfaite, les effets de son geste provocateur.

« Il faudra que je me rappelle de ça » pensa t’elle avant de se redresser pour joindre leurs entrejambes.

*

-          Je ne sais pas si je survivrais à ce traitement. Plaisanta t’il quand il eût retrouvé son souffle.

-          Il le faudra bien, j’ai des années de dépravations à rattraper. Tu es mon esclave désormais. C’est la règle.

Il sourît et l’embrassa longuement avant de la serrer contre lui. Ils allaient reprendre leurs petits jeux coquins mais cette fois, il n’était plus sûr d’être le dominant…

Par Lyam - Publié dans : Slave (fini)/ SM
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Mercredi 12 novembre 3 12 /11 /Nov 19:30

14) Ce qu’il me reste…

Ményl bailla consciencieusement dans son large bureau. Elle effleurait le vieil album photo laissé par Alfred. Elle hésitait toujours à ce qu’elle devait en faire.

Le remettre à Nan ou le garder pour elle. Elle observa toutes les phases de la vie du jeune homme, le voir sourire aux côtés de sa mère. Elle aurait bien voulu qu’il ait sourît ces derniers temps mais c’était difficile. Surtout dans la situation qu’elle avait elle-même provoquée.

Elle avait pensé qu’en voyant ce qu’elle avait accompli en l’espace de trois ans, il serait impressionné par la femme qui rejaillissait d’elle. Mais il était simplement amoureux.

-          Alors pourquoi cela ne me suffit il pas ? dit elle à haute voix.

Au même instant, l’interphone fît grésiller la voix de sa secrétaire.

-          Ményl, tu as une visite particulière. Dît elle

-          Fais le entrer.

Elle était certaine qu’il s’agissait de Nan tout comme elle était disposée à lui pardonner et à se jeter dans ses bras.

Son franc sourire disparût quand elle aperçut Thierry.

-          Qu’est ce que tu fais là ? lança t’elle sans détour

-          Je viens au sujet de Minerve. Dît il

Ils se fixèrent longuement comme si ce simple duel de regards aurait pu les départager de la lutte qui les écartait depuis déjà trois ans

-          Je dois partir en voyage d’affaire pendant quelques mois, je ne pourrais pas venir la voir. D’ailleurs j’aimerais autant arrêter.

La jeune femme eût du mal à croire ce qu’elle avait entendu. « Arrêter » comme ça ? Tout simplement.

-          C’est ta fille Thierry. Tu ne vas pas l’abandonner. S’indigna t’elle

-          On se fait du tort tous les deux en la partageant de la sorte. Je pense que tu t’occuperas mieux d’elle et tu n’auras à manquer de rien j’y veillerais.

-          Et comment veilleras-tu à ce qu’elle ne manque pas d’un père ?

Il ne répondît pas. Ményl se dirigea vers son bureau et entreprît de classer quelques documents.

-          Parfait, tout est clair. Finalement le scénario ne change pas. Tu t’en vas en me laissant tes erreurs.

Thierry se contenta de ne pas claquer la porte.

*

-          Salut maman regarde le joli dessin que j’ai fait. La c’est toi, moi et papa. Au fait ou est ce qu’il est ? Il ne vient pas ?

Ményl secoua la tête en signe de négation. Elle allait devoir lui expliquer et pour ça elle avait pensé marcher. Une promenade en compagnie de son trésor valait tous les après midis du monde. En sortant de l’école elles passeraient par le parc, s’asseyeraient et là elle lui dirait tout.

Alors Minerve se mettrait à pleurer. Elle la serrerait fort contre elle en attendant que de fatigue elle s’épuise car son petit cœur n’avait fait que ça en trois ans. Pleurer et rien d’autre…

Elle reprît la route de chez elle avec son petit amour entre les bras. Elle s’était endormie en serrant ses fins cheveux roux entre ses doigts.

Ményl se demandait alors si elle parviendrait à endiguer le flot de souffrance qui noyait l’amour de Minerve.

-          Je te raccompagne ? proposa une voix qu’elle ne connaissait que trop bien.

Elle opina. En d’autres circonstances, notamment ce matin elle aurait été folle de joie de voir Nan. Mais maintenant.

-          Tu sais que ce n’est pas prudent de se promener à cette heure seule ? Avec ta fille de surcroît ?

-          J’ai la chance de savoir que tu me suis. Rétorqua t’elle.

Elle jeta un coup d’œil dans le rétroviseur et vît sa mignonette allongée sur le siège arrière.

-          Merci ! dit elle simplement.

*

Ils arrivèrent dans son quartier. La jeune femme prît sa fillette entre ses bras avant de refermer la porte. Puis elle se retourna surprise de voir que Nan restait à l’intérieur.

-          Qu’est ce que tu attends ? demanda t’elle. Viens !

Il fût tout d’abord surpris puis sortît de sa magnifique décapotable. Ils entrèrent et Ményl monta coucher Minerve.

Nan était resté debout dans le salon en train de l’attendre. A le voir ainsi dans la lumière tamisée du salon, Ményl s’imaginait sa vie durant ces trois années.

Qu’avait il fait dont elle ne savait rien ? Après tout, elle ne lui avait pas vraiment laissé de chance depuis son retour. Elle fouilla dans son sac et en sortît l’album photo d’Alfred.

-          C’est à toi. Dit elle. Alfred me l’avait remis en espérant que je puisse te le confier.

Il repoussa le livre de la main et s’avança vers elle tout en attirant son corps vers le sien.

-          C’est toi que je veux Ményl et pour te le prouver, je veux que tu gardes ce qui me reste de mon passé. J’ai mûri ces trois dernières années. Je veux partager ça avec toi.

Elle posa la tête contre son torse et respira au même rythme que lui. Au point ou elle en était, plus rien n’aurait eu d’importance si Nan avait daigné l’embrasser.

Mais il ne daigna pas, se contentant de la garder contre lui.

Par Lyam - Publié dans : Slave (fini)/ SM
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Mercredi 12 novembre 3 12 /11 /Nov 19:27

Luxure/6

Le lendemain, je me sentais mal à l’aise. J’avais la sensation d’être humilié, rabaissé et soumis par une inconnue que je me plaisais à appeler « maîtresse » et malgré tout j’en éprouvais une véritable satisfaction.

Tout cela était tellement attrayant, excitant, risqué. La domination... Devenais-je masochiste ?

Je n’arrivais toujours pas à croire ce que j’avais vu, Safran et Céline !

Que c’était il passé, je ne pouvais pas leur demander, cela m’obligerait à dire ou je les avaient vus et ça, je n’y tenais pas.

Je pris mon petit déjeuner avec Céline, elle affichait un léger sourire qui si je n’étais pas au courant m’aurait parût suspect.

-     Tu as bien dormi ? demandais-je

Elle sourît un peu plus ; «  Je t’y prends coquine » pensais-je. Mais alors une pensée me vînt. Ce n’était pas Safran ma dominatrice enfin je pensais que non. Je n’avais pas bien estimé le temps. Je pouvais très bien me tromper, malgré tout, c’était le seul nouvel élément dans ma vie et dans ce cas qui m’aurait si délicieusement violé la nuit dernière ?

-     Vous allez faire des courses ensemble ? demanda Céline. C’est bien que tu essayes de te rapprocher d’elle.

Ce mot me donna une idée. Si Safran était celle que je pensais, je pouvais la piéger. J’acquiesçai à son propos mais ne lui proposait ^pas de m’accompagner, sa présence aurait pu tout gâcher.

*

Mon plan n’avait rien de très moral mais elle n’avait pas non plus été très correcte avec moi. Et puis au stade ou j’en étais, je ne pouvais plus reculer. Je devais savoir si cette magnifique fente rose semblable à une coupure rectiligne était bien la sienne. Je me maudis de penser à cela car je me sentais partir vers de bonnes dispositions.

Nous nous rendîmes dans un magasin de vêtements féminins ; elle voulait sans doute s’acheter des choses coquines pour elle ou quelqu’un d’autre.

Quoiqu’il en soit, elle ne se gênait pas pour dépenser l’argent de mon beau père. Cela m’obligea à passer deux heures à choisir entre lingeries fines et survêtements.

-     Attends-moi là, je vais essuyer cette robe. Tu me diras ce que tu en penses.

Premier point, elle donnait des ordres, mais touts les femmes faisaient ça. Ce n’était qu’un maigre indice. Bon il était temps de mettre au point mon génie ou ma débauche. Appelez ça comme vous voulez...

J’entrais dans la cabine alors qu’elle venait d’enfiler la robe noire de satin.

-     Qu’est ce qui te prend ? s’indigna-t-elle

-     Je t’aime. Dis-je de manière assez convaincante

-     Quoi ?

Je ne répondis pas me contentant d’approcher mes lèvres des siennes. Elle fût d’abord surprise mais ne me repoussa pas. J’aurais même pu croire qu’elle voulait que je poursuive, ce que je fis avec une lenteur et une douceur maitrisée.

-     Ah... ce genre d’amour.

Ca ne pouvait être elle. J’en étais désormais convaincu. Ma dominatrice détestait que je lui porte de l’affection... Mais pour plus de sûreté...

Je glissais ma main sur la fermeture éclair du vêtement fin et moulant.

-     Pas ici ! répondît-elle à mon geste

Je laissais tomber et quittais la cabine avec un drôle de sourire.

**

Quand nous fûmes dans la limousine, tout devînt assez confus. Safran fît remonter la vitre insonorisée et me plaqua sur le canapé moelleux du siège. Elle entreprît de dégrafer mon jean puis de relever mon t-shirt.

-     Qu’est ce que tu fais ? demandais-je

-     Chut ! me dît-elle avant de saisir mon entrejambe

Je m’apprêtais à me relever quand elle appuya sur mon sexe et m’allongea à nouveau brutalement sur le siège.

-     Reste là ! me dît-elle autoritairement

Je crûs alors ressentir le même attrait que j’éprouvais pour ma maîtresse. Je revins à moi en sentant ses lèvres avides gober mon pénis qui ne tarda pas à manifester son contentement.

Je devais bien reconnaître qu’elle savait utiliser sa langue. Mmh, un délice. Je soupirais satisfait de cet échange. Au bout d’un moment, elle s’arrêta.

Me redressant à l’aide de mes coudes, je la vis ôter son gilet et libérer ses superbes seins qu’elle frotta contre mon instrument dionysien.

-     Ah !

-     Ne te retiens pas pour moi !

Et pour appuyer son propos, sa langue se mît à vagabonder sur mon gland. Je cédais et constatai après coup qu’elle avait le visage maculé. Elle en sourît, passa son doigt sur une trace et la lapa.

-     Tu en veux plus ? me demanda-t-elle

J’hochais la tête machinalement. Elle se mît debout et s’apprêta à défaire sa jupe quand la voiture s’arrêta.

-     Tant pis pour toi ! déclara-t-elle en se revêtant et en passant un mouchoir sur son visage.

Elle sortît, ses courses en main tandis que je me rhabillais à la hâte. Au lieu de la percer à jour, c’est elle qui m’avait mené en bateau.

 

 

Par Lyam - Publié dans : Slave (fini)/ SM
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Mercredi 12 novembre 3 12 /11 /Nov 19:26

Luxure/5

Je n’avais aucune idée de l’endroit ou je me trouvais. Ma maîtresse m’y avait conduit les yeux bandés. Il devait sans doute s’agir d’une pièce de la maison. J’étais moi-même surpris de ne pas connaître plus en détail l’état des lieux. Je tirais un peu plus sur mes poignets liés.

J’adorais cette impression de domination. Le fait d’être l’esclave sexuel d’une femme m’excitait considérablement.

Elle m’avait lentement déshabillé avant de me faire asseoir au sol. Il s’était passé un moment avant que quelqu’un, probablement ma maîtresse ne vienne m’ôter mon bandeau.

Je n’osais pas parler, craignant le châtiment de ma dominatrice ce qui paradoxalement me procurait une étrange sensation de joie ; pourtant j’étais plein de questions. Qui était-elle en réalité ? Je n’en savais rien, je savais juste qu’elle avait Anis à son service.

Un écran s’alluma devant moi. On tira sur ma chaîne et je me raidis. C’était elle, je reconnaîtrais sa poigne douce et maîtrisée.

Les images que je voyais me laissait sans voix et curieusement attisait en moi un désir intense.

*

-     Prends cette banane ! dit Safran

Céline s’exécuta, pelant le fruit, elle en goba le bout. La jeune fille la lui prît des mains et entreprît de déboutonner sa chemise. Machinalement, Céline mît ses bras autour de sa poitrine.

-     Laisse toi faire ! lui intima-t-elle

Céline écarta légèrement ses mains. La cousine de Mérick glissa le fruit entre les seins de la jeune fille.

-     Presse les ensembles !

La jeune fille hésita puis sous la contrainte des doigts caressants de Safran, elle ressentît quelques frissons dionysiens.

-     Est-ce que ça te plaît, demanda-t-elle en lui baisant le cou

Céline leva la nuque pour l’encourager à poursuivre. Ses doigts accentuaient son plaisir en même temps que Safran redoublait d’ardeur.

Celle-ci pencha la tête vers l’interstice d’où transparaissait le fruit pour en manger. A plusieurs reprises, ses lèvres se refermèrent sur les pulpeuses et charnues sphères de volupté de celle-ci.

-     Il ne reste plus. Dit elle en s’écartant

-     Non... dît Céline sur le ton de la déception.

Safran la considéra satisfaite de sa débauche. Elle se plaqua contre elle pour l’embrasser longuement, ses lèvres avides et dévorantes. Leurs langues se joignirent en une effusion de tendresse légère.

-     Ce sera tout pour ce soir. Dit Safran en se décollant

*

-     Pas pour toi ! ajouta ma maîtresse.

Dès que l’écran se fût éteint, une lumière confuse m’empêcha de distinguer son visage tout en se répandant dans la salle.

Elle était assise en face de moi, ses orteils fins et sensuels effleurèrent mon sexe tendu par cet échange entre ma cousine et ma meilleure amie. Comment en étaient elles arrivées là ?

-     Ne pense à rien d’autre qu’à me satisfaire. Compris ?

Et comme pour appuyer son propos, elle pressa un peu plus ma verge entre ses deux chevilles.

J’en gémis tellement c’était bon. J’adorais ces caresses originales.

Elle serra ma bourse pour me punir d’avoir parlé sans son autorisation, ce qui ne l’empêcha pas de continuer sa pédophallation.

Toutes ces sensations étaient incroyables et me précipitaient inexorablement vers l’extase. Je ne parvins plus à me contenir et éjaculais sur ses chevilles satinées.

-     Bien...

Elle agita ses chevilles devant moi, mes mains toujours entravées m’empêchaient de la caresser pleinement.

-     Viens donc ici et nettoie cette peau de déesse que tu as souillée. M’ordonna-t-elle

Je comprenais parfaitement ce qu’elle voulait mais je n’étais pas disposé à agir. J’avançais quand même et tendît ma tête vers cette délicate anatomie. Je me mis à lécher cette peau veloutée évitant le sperme que j’avais répandu.

-     C’est délicieux mais ce n’est pas ce que j’ai exigé. Me dît-elle sur une voix ferme

Je n’avais pas le choix, il fallait obéir, et que je le veuille ou pas, inconsciemment cela me plaisait.

Par Lyam - Publié dans : Slave (fini)/ SM
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