Des choses à dire...
Ce blog contient des textes à caractère sexuelles.
Homphobes, racistes et tout emmerdeurs à venir je ne vous retiens pas!!
Bon vent!
Le Méli Mélo de Lyam
A deux, à trois, en solitaire...
C'est doux, violent, délicieux...
Luxure/3
J’achevais de prendre ma douche. J’adorais sentir l’eau frétiller sur moi. On frappa à la porte de ma chambre. Je passai rapidement une serviette et allai ouvrir.
Anis attendait devant la porte tête baissée. Elle tenait une enveloppe à la main et la voir vêtue ainsi de son habit de ménagère m’insufflait quelque douces pensées.
- Ma maîtresse vous envoie ceci. Dit elle en me tendant le mot
Elle disparût la tête toujours baissée. Sa maîtresse me réservait elle le même sort ? Je m’asseyais sur mon lit décachetant l’enveloppe quand mon téléphone vibra. Céline m’annonçait qu’elle ne pouvait pas venir ce soir mais plutôt dans la journée du lendemain.
Cela voulait dire que la maison était vide. Seulement moi et ma dominatrice. Après m’être convenablement essuyé, je lus le message.
« N’as-tu jamais ressenti un désir ardent ? Le feu de la passion, une passion vivace. Je veux te faire connaître tout ça. Je t’ordonne de me combler, de te dévouer à moi seul. Je veux éprouver ta soumission, sentir ton corps écrasé par ma domination... »
Je me sentais incroyablement excité par ce message et m’endormis sur des pensées inavouables.
*
J’ouvris subitement les yeux ; il n’y avait plus de lumière dans ma chambre. Mon lit crissa sous l’effet d’un poids qui venait s’y ajouter.
C’est en tentant de capter ce nouveau corps que je me rendis compte qu’on m’avait menotté aux barreaux du lit. Ce corps gracile tira fermement sur la couverture du lit étalant ma nudité. Je sentîs alors ses fesses se poser contre mon sexe en phase d’érection. Je perçus son opulente poitrine contre mon visage tandis que son entrejambe gobait la mienne.
Je m’apprêtais à parler quand sa langue se noua à la mienne en un gémissement étouffé. Elle se déhanchait sur mon bassin faisant fougueusement onduler son corps.
Je ne pus retenir un cri qu’elle savoura. Ses dents se refermèrent sur ma lèvre inférieure en un léger mordillement.
J’étais partagé entre plaisir et douleur. J’avais une envie folle de la prendre par les hanches et d’approfondir cette pénétration.
Proche de l’extase, je poussai un cri. La pression de ses lèvres sur mon membre dur acheva de briser ma contenance, j’emplis sa bouche de mon sperme. Pleinement satisfait je considérais cette ombre qui se dirigeait vers ma tête pour me libérer.
- Dors bien !
Je n’ai pas reconnu cette voix, peut être était ce dû à mon euphorie sexuelle. Je replongeais vaguement dans un sommeil profond.
**
Je me levais avec la sensation que tout cela ne fût qu’un rêve. Je me redressai et me dirigeais vers la fenêtre, j’y vis Safran assise sur la terrasse en train de petit déjeuner. Je pris alors conscience que depuis son arrivée je n’avais jamais eue de véritable conversation avec elle.
Elle avait un je ne sais quoi d’attirant, peut être ses yeux... Je lissais la vitre comme si il s’agissait de son visage que j’eusse caressé.
Je pris rapidement une douche et descendît la rejoindre. Elle ne m’adressa aucun signe d’intérêt.
- Salut ! dis je en vue d’entamer une discussion
Elle me répondît avant de se servir un verre de jus de fruit. Décidemment, je me demandais si je parviendrais à nouer un contact avec elle.
- Alors c’est quoi ton planning ? Tu reste pour les vacances c’est ça ?
- Je reste !
Son ton froid et asocial me dissuada de poursuivre. Plus tard, j’appelais mon beau père afin qu’il me parle de cette étrangère. Il m’informa que ses parents étaient morts dans un banal accident de voiture et qu’il entamait les procédures pour l’adopter.
Je raccrochai peu rassuré de ses nouvelles informations.
Luxure/2
- C’était qui déjà Diderot ? demandais-je à moitié assoupi
Céline soupira. J’y pouvais rien si les écrivains du 18ème siècle m’exaspéraient ; J’étais plus dans les contemporains dans le genre Stephen King ou Brenard Wherbhem. Peut être même du Paul Cohelo.
- Pense Jacques le fataliste, l’Encyclopédie...
- Je pensais qu’elle était de d’Alembert
- Ouais y’a quelque résidus c’est déjà ça.
Je me laissais tomber sur le canapé, assise sur le tapis, Céline se massa les légèrement les yeux. Ses nouvelles lentilles de contact devaient la dérangé.
- Tu veux à boire ? lui proposais-je
Elle opina. J’appelai le majordome, j’adorais ces réparties dès que je passais commande auprès de lui.
- Monsieur à beuglé, demanda Gérard en entrant
- Très drôle, apportez nous à boire s’il vous plaît.
Dès qu’il eût ramené les boissons, j’invitais mon amie à m’accompagner sur la terrasse. C’était un trop bel après midi pour rester à l’intérieur.
- Pourquoi est ce qu’on travaille maintenant, On a tout le week end pour ça.
Elle tourna la tête et préféra aller s’allonger sur une chaise longue à l’ombre.
- Mon père vient nous voir ce week end, je pensais m’incruster chez toi. Ta mère sera d’accord ?
Je réfléchissais. En temps normal, cela ne m’aurait pas dérangé, j’aurais même été ravi de passer la fin de semaine avec elle. Mais avec tout ce qui se passait durant l’absence de ma mère, j’avais prévu un programme particulier pour ces deux jours.
- Alors ?
- Euh non, ca ne devrait pas poser de problèmes.
Je tournais alors la tête pour regarder le chêne que mon père et moi avions cultivé ensemble ; nous passion la majorité de nos après midi sous cet arbre. Parfois on montait sur ses branches pour se cacher de maman. Elle était adorable ma mère.
Sortant peu a peu de ma nostalgie, je remarquais qu’elle était assise à l’ombre de mon chêne. Elle nous regardait de son regard glacial. Comment n’avais pas pu la remarquer ?
Un frisson me parcourût quand je vis ses superbes yeux gris vert en fente. Ils m’évoquaient ceux d’un chat.
- Qui est ce, me demanda Céline
- C’est la nièce de mon beau père. Safran.
- Ah...
J’en conclus qu’elle ne devait pas lui porter beaucoup d’intérêt.
- On va la voir ?
- Je ne préférerais pas. Je la trouve bizarre. Viens je te ramène chez toi faire le plein.
Elle acquiesça ; nous rentrâmes mais avant de refermer la vitre, je jetais un coup d’œil vers elle. Elle avait de magnifiques cheveux noirs...
Luxure/1
Je sentis une chaude et douce coulée de chocolat fondu sur mon sein tandis que sa langue caressante et sensuelle faisait frétiller mon corps.
Elle entreprît d’approfondir cet échange charnel en mordillant mon têton. Je ne pu résister, gémissant sous le poids de cette douleur douce.
Elle se releva, me jaugeant comme un être inférieur puis leva sa cuisse d’un sublime teint hâlé. Je sentis alors la pointe étroite de son talon s’enfoncer dans mon épaule.
- Fais plaisir à ta maitresse ! me dit elle en posant sa tapette sur ma tête.
Je n’hésitais pas et laissais courir ma langue sur sa cheville et ses orteils veloutés. Je m’égarais et déposai un baiser sur sa peau magnifique.
Je ressentis bientôt une vive douleur à la mâchoire, d’un revers de jambes elle me fît basculer et posa violemment la plat de sa chaussure sur ma tête.
- Plus jamais tu m’entends ?
Elle accentua la pression de sa godasse. Je ressentais le froid glacial du dallage mais tout autant la froideur qu’elle avait dans le cœur.
- Je ne veux plus jamais que tu m’aimes ! je veux que tu me craignes, que tu me sois soumis, est ce clair ?
Je murmurais un pardon inaudible, incroyablement stimulé par cet échange. Je sentais la corde me démanger les poignets. Elle lâcha la chaîne qui entravait ma nuque et se dirigea vers sa chaise.
Ses fesses moulées dans son sado latex se déhanchaient tout en avançant. Elle prît place et écarta ses cuisses.
- A quatre pattes, viens combler ta maîtresse. Dit elle avec un sourire
Embarrassé par mes liens, j’entrepris de la rejoindre elle et son entrejambe magnifique.
*
- Merick ? Ouhou !
J’ouvris pesamment les yeux et découvrît la tête rousse de Céline. Elle souriait. Je ne la comprendrais jamais cette fille. Je m’étirais longuement, le cours fini.
Il faudrait que j’arrête mes activités nocturnes. Je me levais précédé de l’une de mes meilleures amies.
- Tu dors mal ces temps ci ? s’inquiéta-t-elle
J’approuvais, je n’allais quand même pas lui révéler mes petits secrets.
- Ca te dit qu’on le fasse ensemble ? me demanda-t-elle
- Quoi ? m’étonnais-je
- L’exposé de litté !
- Ah.. ben ouais pourquoi pas ?
Elle s’arrêta un instant dans le couloir et me fixa.
- A quoi tu pensais ?
- A
rien ! répondis-je avec un sourire
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No coment sr cte fic lol. Laissez des com's mais Wiwi délirait un peu quand il a écrit ça ensuite il s'est dit que puisqu'il était déja manuscrit autant le taper que vous en porfitiez
tous. lol
10) Tu me rends faible…
Ményl se tenait debout fermement sur le pas de la porte de la propriété de Nan. Allait elle se décider à ouvrir ou bien devait elle rebrousser chemin en ne se fiant qu’aux paroles de Thierry.
Peut être était ce vrai ? Nan ne voulait plus la revoir c’était compréhensible. Elle se frotta les yeux puis essuya ses lunettes. Non ! Il ne fallait pas baisser les bras si près du but. Elle était bien décidé à tout lui dire aujourd’hui même bien qu’elle eût la certitude que les choses n’avaient plus besoin d’être éclaircies entre eux.
La malheureuse mésaventure du bateau avait dû suffire à faire le point.
« Ne m’abandonnes pas ! » avait il dit. Parlait-il seulement de la circonstance ou de long terme. Sans qu’elle comprenne comment, il avait réussi à la conquérir. Elle se sentait plus proche de lui qu’elle ne l’aurait été avec un autre garçon. Mais pourquoi un être aussi compliqué ?
- Allez vous vous décidez à entrer Mademoiselle ? dit Alfred en ouvrant la porte
Elle sortît de ses rêveries en sursautant.
- Alfred ?! Vous m’avez fait peur.
- Il y a longtemps que je ne vous ai vus. Ma foi j’ai eu vent du petit incident de cet été. Comment vous portez vous ? demanda t’il en lui servant du café
Ményl le coupa avec du lait. Curieusement, elle ne se sentait pas trop de répondre à cette question avant d’avoir vu Nan.
- Très bien merci. Ou est Nan ? Je souhaiterais lui parler.
Alfred tourna le dos et alla déposer la tasse vide à l’évier. Puis tout en s’activant à ses petites affaires, il lui répondît :
- Monsieur est sorti.
- J’attendrais ce n’est pas un problème. Rétorqua t’elle
- Monsieur est sorti de nos vies. Il est parti. Se justifia t’il
- Pardon ? fît elle en se levant
- Vous m’avez bien compris. Nan est parti, il ne m’a pas dit ou il allait ni ce qu’il comptait faire. Il m’a simplement promis de revenir quand son cœur lui en dicterai ainsi.
Ményl ravala péniblement sa peine ; Alfred mentait c’était certain, Nan ne pouvait pas être parti de la sorte. C’était une attitude lâche et ce genre de caractère, ce n’était pas lui. Ca ne lui ressemble pas.
- Ca ne lui ressemble pas ! s’insurgea Ményl
- C’est aussi mon avis, mais peut être…
Il tira une enveloppe du tiroir et la lui tendît.
- Peut être qu’après cela vous saurez m’expliquer. Dit il
La jeune femme s’empara de l’enveloppe. Son nom était écrit en grosses lettres dessus marqués de la fine écriture de Nan.
- Pas ça ! dit elle aux bords des larmes. Pas lui…
*
Menyl fît les cents pas avant de se décider à ouvrir la lettre. Un millier de question et tout autant d’hypothèses lui trottaient dans la tête. Elle se torturait alors que la réponse devait se trouver là sous ses yeux, dan cette enveloppe.
Elle expira un bon coup puis se décida à l’ouvrir.
« Je ne suis pas un grand sentimental, tu le sais bien, aussi je ne vais pas y aller par quatre chemin. Tu me rends faibles Ményl et je déteste cette impuissance. A tes côtés je suis vulnérable et ça pour moi c’est impardonnable…
Le monde qui est le mien ne tolère pas cette faiblesse. Je n’ai pas le choix, je vais partir. Il est possible que je revienne mais je ne sais pas quand et je ne te demande pas de m’attendre, je serais même soulagé de ne plus de te revoir…
Je t’aime mais c’est trop pour moi »
La jeune fille froissa le courrier contre sa poitrine se contentant simplement de baisser la tête.
Quelque part, Nan devait regarder l’horizon tout en y cherchant une éventuelle trace d’elle. Il était loin de se
douter de la tournure que prendraient les évènements et du fossé qu’allait creuser ces deux années…
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Voila c'est fini!!! Non je blague, il y aura bien évidemment une suite mais avec un petit écart de trois années durant lesquelles il s'est pas passé grand chose alors inutile de vous raconter
cette période. Pour les fans lol, Ményl reviendra pas avec Thierry je vous rassure, mais elle ne va pas rester célibataire ca paraît clair. Si vous saviez... Ah mais j'oubliais vous saurez
bientôt...
9) Mémoire flash
« J’ai l’impression de voir des choses, comme des flash. Un brouillard épais qui veut m’empêcher de reprendre contact avec mon ancienne vie et parfois j’assimile Thierry à ce brouillard. Ca va faire deux semaines que j’ai quitté l’hôpital et malgré ça je ne me sens pas en meilleur forme. Je m’étonne d’ailleurs de n’avoir commencé à tenir un journal intime que maintenant.
Thierry m’a raconté ce qui est arrivé. Avec des amis nous sommes allés en vacances sur un bateau et j’ai trébuché avant de perdre connaissance. Mais je ne trouve pas cette explication suffisante. Et puis il y a ce visage que je revois parfois. J’ai même la sensation de le connaître, de l’avoir parcouru…
Avec Thierry je vais me rendre à l’Université. J’ai besoin de réactiver ma mémoire, il ne veut pas me le dire mais je suis certain que cet inconnu fait parti de mon amnésie. »
*
- C’est bizarre. Quand je touche certaines choses, j’ai l’impression de revoir des images. Ca donne une migraine atroce. Dit Ményl en s’asseyant
- Je ne comprends pas pourquoi tu tenais à revenir ici.
La jeune fille ne répondît pas. Elle espérait nonchalamment voir le jeune homme dont elle rêvait mais sans succès. Quelques souvenirs lui étaient restés en tête comme Natacha et peut être même un déjeuner. Un déjeuner assez particulier.
- Ményl ?
- Tu es vraiment sûr de ne pas connaître de Nan ?
Thierry cacha mal une grimace mais donna une réponse négative à la jeune fille. Celle-ci soupira, elle en avait marre de cette situation. Elle demanda à Thierry de la raccompagner. Le jeune homme la soutînt jusqu’à la voiture.
**
Thierry était allongé contre le dos de Ményl quand il sentît que celle-ci se réveillait. Il avait été des plus inquiets quand Nan l’avait appelé mais au final, il avait décidé de lui-même de s’écarter de la vie de Ményl de manière définitive et tant mieux si elle l’avait partiellement oublié.
Tout ce qu’il redoutait ce fût qu’elle découvre la vérité car dès lors, il perdrait toute crédibilité auprès d’elle. Et même si parfois son cœur lui criait de tout lui dire au sujet de Nan, il savait que ce n’était pas ce qui avait de mieux pour elle.
- J’ai encore rêvé de ce garçon… dit elle en se retournant.
Il soupira, a ce rythme sa mémoire ne tarderait pas à faire tout le travail qu’il redoutait.
- Je vais finir par être jaloux. Plaisanta t’il
Elle baissa les yeux avant de s’excuser. Il passa son doigt sur sa joue et l’embrassa sur le front.
- Est-ce qu’on a déjà.. ? je veux dire je ne me souviens pas de notre première fois !
- Il n’y en a pas encore eu. Dit Thierry
- Pourquoi ? demanda t’elle surprise
- Tu préférais attendre qu’on soi t marié. Ensuite tu es venu étudier ici et moi je suis resté travailler la bas. Dit il pour bâcler l’histoire
Elle se mît à sourire. Un étrange sourire qui ; Thierry en était certain ne serait pas apparu aux lèvres de l’ancienne Ményl.
- On n’a qu’a prendre un bain ensemble. Dit-elle en s’extirpant du lit
- D’u t’es venu cette idée ? demanda celui-ci en la regardant se dévêtir.
- Tu sais si tu ne veux pas, je ne te force pas. Ce serait abuser de toi. Dit-elle nonchalamment en laissant tomber sa fine nuisette de lin blanc
Quelques minutes passèrent avant qu’il ne la rejoigne sous la douche.
L’eau se mît à couler doucement inondant leurs corps d’une intense pluie maitrisée. Les gouttes perlaient sur leurs corps comme des larmes s’échappant d’un pêché de chair.
Ményl savoura chaque effleurement de Thierry, le laissant balader ses mains sur son anatomie généreuse. Elle se plaqua légèrement contre lui effleurant son torse du bout des doigts comme si elle caressait une statue ancienne. Sa main glissa légèrement vers le bas ventre du jeune homme et entrepris de caresser ses hanches.
Thierry crispa les mains sur sa poitrine avant de reprendre sa douce étreinte. Il faisait désormais l’expérience du savoir acquis par la jeune fille dans ce manoir en compagnie de Nan. D’une certaine façon, il était fier de pouvoir ainsi profiter de l’enseignement de celui-ci .
Il sentît la tête de Ményl se poser au creux de son cou et enfouit son visage dans sa lisse chevelure rousse.
- J’adore l’odeur de tes cheveux. Dit Thierry
Ményl se figea. La phrase retentissant en écho dans sa tête. Une migraine incroyable la saisît en même temps qu’une foule de souvenirs se pressaient sur le pas de son esprit.
Elle se laissa tomber sur le dallage a genoux et repoussa Thierry qui voulût l’aider à se relever. Elle redressa la tête après quelques minutes, son regard avait changé. Elle était furieuse. Elle se souvenait… Elle se rappelait du jour ou elle avait rompu avec Thierry, ou juste après Nan lui avait fait un compliment sur sa coiffure et ou elle n’y avait vu que de la mesquinerie.
- On a rompu… Pourquoi tu ne m’en as pas parlé ?
Thierry soupira. Il fallait bien lui expliquer.
*
- Non je ne te crois pas ! s’exclama t’elle furieuse
- C’est la vérité Ményl, en quittant l’hôpital Nan m’a demandé de t’éloigner de lui.
- Pourquoi il aurait fait ça ? je veux dire… je… enfin nous
- Et quoi ? Tu l’aimes c’est ça ? Ne me fais pas croire que tu as fini par tomber amoureuse de lui ? s’insurgea Thierry
Elle tourna la tête, n’osant même pas se l’avouer à elle. Qui pensait-elle trompé avec son mutisme ? Thierry le comprît…
- Dans ce cas je ne vais pas te retenir. Dit il simplement.
La jeune fille tourna la tête avant de passer la porte seulement pour voir le dos de son ex. Que fallait il faire ? Que fallait il dire ?
Y’ avait il seulement quelque chose à espérer ???
Rien que pour toi cass le titre du prochain chapitre : "Tu me rends faible" jte promets des surprises lol!!!
Novembre 2024 | ||||||||||
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