Des choses à dire...
Ce blog contient des textes à caractère sexuelles.
Homphobes, racistes et tout emmerdeurs à venir je ne vous retiens pas!!
Bon vent!
Le Méli Mélo de Lyam
A deux, à trois, en solitaire...
C'est doux, violent, délicieux...
Luxure/6
Le lendemain, je me sentais mal à l’aise. J’avais la sensation d’être humilié, rabaissé et soumis par une inconnue que je me plaisais à appeler « maîtresse » et malgré tout j’en éprouvais une véritable satisfaction.
Tout cela était tellement attrayant, excitant, risqué. La domination... Devenais-je masochiste ?
Je n’arrivais toujours pas à croire ce que j’avais vu, Safran et Céline !
Que c’était il passé, je ne pouvais pas leur demander, cela m’obligerait à dire ou je les avaient vus et ça, je n’y tenais pas.
Je pris mon petit déjeuner avec Céline, elle affichait un léger sourire qui si je n’étais pas au courant m’aurait parût suspect.
- Tu as bien dormi ? demandais-je
Elle sourît un peu plus ; « Je t’y prends coquine » pensais-je. Mais alors une pensée me vînt. Ce n’était pas Safran ma dominatrice enfin je pensais que non. Je n’avais pas bien estimé le temps. Je pouvais très bien me tromper, malgré tout, c’était le seul nouvel élément dans ma vie et dans ce cas qui m’aurait si délicieusement violé la nuit dernière ?
- Vous allez faire des courses ensemble ? demanda Céline. C’est bien que tu essayes de te rapprocher d’elle.
Ce mot me donna une idée. Si Safran était celle que je pensais, je pouvais la piéger. J’acquiesçai à son propos mais ne lui proposait ^pas de m’accompagner, sa présence aurait pu tout gâcher.
*
Mon plan n’avait rien de très moral mais elle n’avait pas non plus été très correcte avec moi. Et puis au stade ou j’en étais, je ne pouvais plus reculer. Je devais savoir si cette magnifique fente rose semblable à une coupure rectiligne était bien la sienne. Je me maudis de penser à cela car je me sentais partir vers de bonnes dispositions.
Nous nous rendîmes dans un magasin de vêtements féminins ; elle voulait sans doute s’acheter des choses coquines pour elle ou quelqu’un d’autre.
Quoiqu’il en soit, elle ne se gênait pas pour dépenser l’argent de mon beau père. Cela m’obligea à passer deux heures à choisir entre lingeries fines et survêtements.
- Attends-moi là, je vais essuyer cette robe. Tu me diras ce que tu en penses.
Premier point, elle donnait des ordres, mais touts les femmes faisaient ça. Ce n’était qu’un maigre indice. Bon il était temps de mettre au point mon génie ou ma débauche. Appelez ça comme vous voulez...
J’entrais dans la cabine alors qu’elle venait d’enfiler la robe noire de satin.
- Qu’est ce qui te prend ? s’indigna-t-elle
- Je t’aime. Dis-je de manière assez convaincante
- Quoi ?
Je ne répondis pas me contentant d’approcher mes lèvres des siennes. Elle fût d’abord surprise mais ne me repoussa pas. J’aurais même pu croire qu’elle voulait que je poursuive, ce que je fis avec une lenteur et une douceur maitrisée.
- Ah... ce genre d’amour.
Ca ne pouvait être elle. J’en étais désormais convaincu. Ma dominatrice détestait que je lui porte de l’affection... Mais pour plus de sûreté...
Je glissais ma main sur la fermeture éclair du vêtement fin et moulant.
- Pas ici ! répondît-elle à mon geste
Je laissais tomber et quittais la cabine avec un drôle de sourire.
**
Quand nous fûmes dans la limousine, tout devînt assez confus. Safran fît remonter la vitre insonorisée et me plaqua sur le canapé moelleux du siège. Elle entreprît de dégrafer mon jean puis de relever mon t-shirt.
- Qu’est ce que tu fais ? demandais-je
- Chut ! me dît-elle avant de saisir mon entrejambe
Je m’apprêtais à me relever quand elle appuya sur mon sexe et m’allongea à nouveau brutalement sur le siège.
- Reste là ! me dît-elle autoritairement
Je crûs alors ressentir le même attrait que j’éprouvais pour ma maîtresse. Je revins à moi en sentant ses lèvres avides gober mon pénis qui ne tarda pas à manifester son contentement.
Je devais bien reconnaître qu’elle savait utiliser sa langue. Mmh, un délice. Je soupirais satisfait de cet échange. Au bout d’un moment, elle s’arrêta.
Me redressant à l’aide de mes coudes, je la vis ôter son gilet et libérer ses superbes seins qu’elle frotta contre mon instrument dionysien.
- Ah !
- Ne te retiens pas pour moi !
Et pour appuyer son propos, sa langue se mît à vagabonder sur mon gland. Je cédais et constatai après coup qu’elle avait le visage maculé. Elle en sourît, passa son doigt sur une trace et la lapa.
- Tu en veux plus ? me demanda-t-elle
J’hochais la tête machinalement. Elle se mît debout et s’apprêta à défaire sa jupe quand la voiture s’arrêta.
- Tant pis pour toi ! déclara-t-elle en se revêtant et en passant un mouchoir sur son visage.
Elle sortît, ses courses en main tandis que je me rhabillais à la hâte. Au lieu de la percer à jour, c’est elle qui m’avait mené en bateau.
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