Des choses à dire...

Avertissement:
Ce blog contient des textes à caractère sexuelles.


Homphobes, racistes
et tout emmerdeurs à venir je ne vous retiens pas!!

Bon vent!

 
Mercredi 5 novembre 3 05 /11 /Nov 04:02

Je m'excuse, j'ai légèrement négligé cette fic et personne ne me le fait remarquer!!! Bon alors y'a enfin du lemon mais c'est pas au point vu que je suis pas un expert comme vous autres ( n'est ce pas mes demoiselles obsédées?)

***



6) Imperious Mistress: Lady Dominatrice

 

Gerk réfléchissait. Réfléchir était un travail intense. Comme il l'avait demandé, Enal entra dans sa chambre avec un ordinateur portable.

- Des idées? demanda t'elle anxieuse

Des idées, il en cherchait... Comment était ce arrivé?

*

Ce matin il s'était réveillé avec la sensation de passer une bonne journée. Pfff comme si c'était possible. La brume recouvrait le dehors et il faisait froid, il avait alors entreprît de se faire couler un bain chaud. C'était quelque chose qu'il adorait.

Brusquement le téléphone sonna. D'aussi bonne heure ce ne pouvait être qu'une connaissance; l'espace d'un instant il fût pris de laisser sonner le téléphone mais un pressentiment l'obligea à décrocher.

Il eût raison, au bout du fil il percevait la faible voix de Ken. Il parlait d'un ton haletant et semblait presque essoufflé.

 

- Gerk j'ai besoin d'aide !

- Ken? Qu'est ce qui t'arrive?

- Je ne sais pas ou je suis, je suis blessé à l'épaule et je crois que je suis poursuivi. C'est la faute de Kény... je ne peux pas le remplacer aide moi.

- Calme toi, essayes de savoir ou tu es. Cherche quelque chose, une indication.

L'adolescent sembla ramper à l'autre bout du téléphone. Au fur et a mesure qu'il avançait, Gerk sentait l'anxiété le gagner. Dans quel pétrin Kény avait il entraîné Ken?

- Je vois quelque chose, une ruelle St Massimo et une statue de...

Le reste de la phrase fût étouffée et Gerk entendît son ami se débattre à l'autre bout du téléphone jusqu'a ce que quelqu'un tire dessus.

-Ken! cria t'il

Il laissa tomber le téléphone et nota rapidement les informations que venait de lui donner Ken.

 

Assis en tailleur sur son lit, il tentait de démêler les liens de cette histoire. Prévenir la police n'avait été qu'une perte de temps colossale durant laquelle Enal effectuait une recherche sur les adresses correspondant aux indications de son ami.

Quant à lui, il était temps de se lancer dans une de ses manipulations préférés. A savoir pirater le net.

Une de ses qualités majeures était son don pour le hackage de fichiers informatiques. Il réussit a infiltrer la base de données de la mairie et consulta le dossier de Ken. Rien de particulier.

Par extension il associa sa photo d’identité à un moteur de recherche basé sur un système de modulateur graphique. La photo trouva des ressemblances à quatre vingt douze pour cent avec celle de six tueurs à gage.

-          Je crois que j’ai une piste ! dit Enal, ce dont Gerk se fichait éperdument.

« Impossible ! pensa t’il »

Il exécuta une manipulation qui lui permît d’obtenir une photo de ces hommes. Sur chacune d’elles et même avec des surnoms ridicules tels que Téquila Da Vista ou Señor Elstop, Gerk reconnût les raits singuliers de Keny.

 

En même temps que ses doigts pianotaient sur le clavier en tentant de trouver son dernier contrat en lice, Gerk s’interrogeait sur la vie de Kény. A quoi pensait il en mettant leurs vies en jeu de la sorte ? Kény était il égoïste au point de ne pas se soucier de la vie de son autre lui ???

Il afficha le nom de la dernière cible. Une certaine Lady dominatrice. Pas banal comme nom de famille.

*

De ses vingt années de maîtresse proxénète, s’il y avait bien une chose qu’avait appris Lady Dominatrice, c’était de ne laisser quiconque se mêler de ses affaires. A l’âge tendre de quarante ans, cette quadragénaire avait sû exporté plus de marchandises exotiques que ne comptaient d’immigrés les Etats Unis. Si vous voyez ce que je veux dire.

Elle frappa nonchalamment les fesses de son nouveau prisonnier masculin.

Il était temps de faire prendre conscience à son invité de ce à quoi il était bon. De la chair et que ça…

 

Ken ouvrît les yeux, il se sentait mal et sa première réaction fût de hurler bien qu’il fût bâillonné. Il n’hurlait pas à cause de sa situation, mais de la douleur lancinante qui lui vrillait le dos. Comme un tisonnier à blanc que l’on incruste dans la chair à vif. Un goût de sang berçait ses lèvres tandis qu’il se sentait tournoyé en l’air, ses pieds manquant le sol d’une cinquantaine de centimètres.

Ses bras relevés en l’air étaient captif de cordages. Il comprît alors qu’il se trouvait en très fâcheuse position.

Si seulement Kény pouvait surgir, lui aurait la force de le libérer. Mais sans miroir à disposition cela semblait difficile…

Il sentît la poulie se stabiliser et remercia le ciel que s’achève enfin ce roulis incessant.

-          Faîtes le descendre ! ordonna une voix féminine

Il s’agita un instant jusqu'à ce que la pointe de ses pieds touche le sol. Une plantureuse quadragénaire lui faisait face. Kén malgré la situation voyait en elle une légère ressemblance avec sa mère au niveau de ses longs cheveux châtains qui cascadaient sur son dos.

Mais cette vision fût vite assombrie par la magnifique éraflure due au fouet de celle-ci, impact violent sur son visage.

-          Ne me regarde jamais plus de trois secondes ! est-ce clair ? ordonna-t-elle

Il ne répondît pas, la douleur vrillant son visage de part en d’autre.

Elle le lui prît entre les mains avant de dire

-          C’est toi qui en veut à ma vie ?

« Pétasse ! pensa le jeune homme. Comment veux tu que je te réponde avec ce truc dans la bouche ? »

Comme ayant lue dans ses pensées, elle ôta le bâillon et réitéra sa demande.

Mais Ken ne répondît pas, il observait le jouet que la femme agitait entre ses mains, une tapette vulgairement dit. Un fouet dont la ramure plate était composé de fibres en bambou émaillé recouvert de cuir tanné.

Un accessoire parfait pour une parfaite dominatrice.

-          Laissez moi partir ; demanda t’il

Un coup cinglant résonna à la surface de sa peau. La proxénète fît lentement le tour de la pièce. Un sous sol aménagé sans aucune caméra, ce que Ken nota dès que la douleur se fût dissipé.

-          Réponds à ma question.

-          Harry ! mentît il

-          Evidemment je me doutes qu’il s’agit d’un faux nom. Tu m’as l’air bien indocile. Laisse-moi voir tout ça.

Elle s’approcha de lui et laissant courir sa main sur son corps, elle ferma les yeux se plongeant dans une sorte de transe qui nécessitait l’exploration de tout le corps de l’adolescent.

-          Tu es plutôt jeune, pas le profil d’un tueur à gage. Je sens une tension en toi, comme si tu te battais avec tes démons. Il y a beaucoup de tensions sexuelles en toi également. J’en conclus que tu es puceau. Je sens cela aux crispations de ton corps quand mes mains expertes le parcourent. C’est un délice de te voir soumis de cette façon. Dit elle au bord de l’extase.

-          Je pourrais avoir un miroir ? demanda t’il écœuré

-          Quoi ? tu veux voir ta sale petite gueule ? plaisanta t’elle. D’accord, Lady Dominatrice est connue pour sa grande générosité.

Ken sourît intérieurement. Deux choses lui faisaient horreurs, les gens suffisamment prétentieux pour parler d’eux à la troisième personne et les brutes. Il se fixa quelques secondes dans la glace et aussitôt laissa place à Kény qui observa immédiatement la disposition des lieux avant de prendre conscience de ses blessures. Il fît un salto arrière en profitant pour décocher un coup de pied à cette bécasse qui s’éffondra au sol. Heureusement qu’elle tenait à l’intimité de ses victimes sans quoi, Kény ne doute pas qu’un trillion de garde aurait débarqué.

Dans un effort intense et malgré son épaule douloureuse, il se hissa et fît monter ses jambes jusqu'à ce que ses chevilles fassent contrepoids sur la corde et l’entraîne au sol.

Il s’écrasa à nouveau sur l’épaule et dût rester allongé quelques temps avant d’entamer quoique ce soit.

 

Quand il se redressa, un coup violent le fît flancher l’obligeant à s’agenouiller. Dominatrice le regardait avec une certaine rage, son long fouet criblé de nerfs en cuir pendant à ses pieds.

Elle en donna un autre coup de Kény intercepta malgré ses mains liés ; il tira brusquement dessus et ramena son adversaire au tapis lui passant le fouet au cou il entreprît de l’étrangler.

Au même instant, une sirène de police retentît. Vite il ne pourrait pas achever son contrat, il lui fallait un plan et avec cette empotée évanouie cela pouvait s’arranger. Il se plongea dans les cordages avant de poser le miroir devant lui pour redevenir Ken.

 

*

 

-          Tu crois que c’était une bonne idée ? demanda Enal tandis qu’ils traversaient les couloirs de l’hôpital

-          J’ai fait au mieux ! dit il

Gerk n’en revenait pas d’être revenu dans cet hôpital ou il avait rencontré la mère d’Enal. Il détestait les hôpitaux, sans doute à cause du fait qu’il avait vu y mourir son père.

Ils parvinrent enfin à sa chambre ou ils le trouvèrent assis sur son siège observant d’un œil attentif la nature qui s’offrait à lui.

-          Ken…

Il se retourna et leur offrît son plus beau sourire même si il trahissait un profond traumatisme. Son attelle devait lui permettre de guérir plus rapidement. Une chance qu’il ne ce soit rien cassé d’irréparable. En tout cas il devrait renoncer à une éventuelle carrière de rugbyman ; comme si il avait eu la moindre chance.

-          Gerk ! je dois te remercier. Je ne sais pas ce qui ce serait passé sans ton intervention.

-          Que c’est il passé ? s’enquît Enal

-          La police est arrivée sur les lieux sans doute prévenue par vous. Ils m’ont retrouvés dans le sous sol et ont donc pensé que j’étais une victime de cette proxénète. J’aurais sûrement fini au marché noir sans ça. Je me demande d’ailleurs combien j’aurais pu valoir ? dit il pour plaisanter

L’adolescent fût soulagé de voir que son ami allait bien. Il se pencha à son niveau.

-          Je suppose que Kény avait prévu ça. Dit Gerk

Ken se massa l’épaule, ce n’était visiblement pas sans mal.

Gerk tira un mirroir de sa poche et le plaça devant ses yeux. L’adolescent fît place au jeune homme sûr de lui.

-          Salut mignon ! dit il en voyant le visage de Gerk

Il n’eût pour seul réponse qu’un violent coup de poing. Il s’essuya le coin des lèvres avant de tourner la tête pour ne pas revoir Gerk.




L'avant dernière partie. Je vais poster la fin bientôt. Mais pour ce qui est des rapports qu'elle aura en son sein soyez clément j'ai l'esprit hétéro lol

Par Lyam - Publié dans : Yaoï
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  • : 08/07/2008

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