Des choses à dire...

Avertissement:
Ce blog contient des textes à caractère sexuelles.


Homphobes, racistes
et tout emmerdeurs à venir je ne vous retiens pas!!

Bon vent!

 

Fiction

Mercredi 20 août 3 20 /08 /Août 10:58

Understanding or Undergoes: Comprends ou Subis!

 

Ghin fulminait intérieurement. En plus de detester cet escrot, il fallait qu'il le voie, cette enflure du dixième degré.

Il expira à fond avant d'entrer dans le bureau. Une jeune fille aux cheveux verts était debout face à lui et semblait se disputer.

L'adolescent n'était pas devin mais comprenait facilement qu'il était en présence d'une tension intime.

- Qui êtes vous? demanda Rimwood

- Ghin Zamenhof.

- Ah oui. Laisse nous Judith!

Le jeune homme nota qu'il ne l'avait pas vouvoyé et en sa presençe ce genre d'indices pouvait s'avérer très utile.

L'adolescente sortît non sans avoir auparavant jeté un sourire au nouvel élève.

-Asseyez vous!

Il prît place façe à un quadragénaire souriant au fin teint hâlé. Grand, probablement musclé; il semblait tellement différent de celui dont il se souvenait et pourtant...

"Le vrai repentir n'est accordé que par celui qui a souffert."

-

Ghin serra le poing, il ne fallait pas que ce crétin, pervers, obsédé se souvienne de lui maintenant.

- Oui, Lejzer Zamenhof était un de mes ancêtres. dit il pour étouffer les pistes.

-Ah oui... dîtes moi, que pensez vous de l'établissement.

- A vrai dire je ne connais pas encore très bien les lieux et votre fille s'est généreusement proposée de me faire visiter.

- Dans ce cas je ne me fais pas de souci pour vous. J'ai examiné votre dossier scolaire et je dois admettre que vous avez là un parcours remarquable. J'aimerais m'entretenir avec vos parents, est il possible de les rencontrer Mardi prochain?

- Je crains que non... avoua t'il

- Si la date est un problème, nous pouvons...

- Je n'ai plus de parents! faillît il crier

Durant un instant, Rimwood vît briller dans les yeux de Ghin un éclat, quelque chose de mauvais. Une lueure assez inquiétante.

Celui ci posa sa main sur le dessous du bureau et y posa un mini micro sans fil qu'il fît glisser hors de sa manche.

Celui ci adhéra immédiatement au bois d'if verni.

- Excusez moi fît il faussement en baissant les yeux.

- C'est de ma faute, j'ai manqué de délicatesse...

Un leger silence survola la salle jusqu'a ce qu'ils reprennent leur conversation.

*

Hélyce Zamenhof venait d'avoir dix sept ans. Elle étudiait actuellement en classe de Terminale Economique et Sociale. Assise patiemment en classe, elle souffla sur l'une de ses mèches rebelles d'un beau gris clair et reporta son attention vers le professeur.

Mme Merval était vraiment quelqu'un d'assomant. Elle pencha la tête prête à s'endormir quand la cloche retentît soudain la sortant de sa torpeur.

A la différence de son frère aîné, Hélyce n'était pas une surdouée, néanmoins elle se débrouillait au mieux pour être à la hauteur même si son seize de moyenne générale pouvait être insignifiant comparé au dix neuf soixante quinze auquel se maintenait son frère.

Avant de rentrer chez elle, elle fît un détour par le parc avec ses nombreux amis s'offrant une glace au chocolat.

Elle finît par rentrer chez elle. Tout dans la maison de ses parents lui rappelait les térribles évènements qu'elle avait dû subir. Son père était mort depuis déja six ans et l'anniversaire de sa mère approchait; ou plutôt l'anniversaire de sa mort. Ghin avait prévu quelque chose ce jour là et elle se doutait qu ce ne serait pas joli à voir.

Rien que d'y penser son coeur se serra. Ce qui s'était passé avait complètement réorganisé leurs vies, elle espérait seulement que Ghin oublierait ses projets de vengeance. Cela l'avait rendu amer et obstiné.

Il avait travaillé avec haine pour parvenir jusqu'au personnage douteux de Théodore Rimwood.

La haine, ce curieux moteur qui l'animait depuis bientôt dix années, un auxiliaire puissant au service du désir. Un désir insatiable de vengeance , un désir nocif...

Elle chassa hors d'elle ces pensées néfastes et s'installa dans le canapé mais ses cauxhemards revenaient.

Après le suicide de leur mère, leur père s'était occupé d'eux dans la limite du possible mais bientôt, lui aussi avait dû les laissé poussé également par une folie suicidaire.

Ils avaient alors étés plaçés dans une famille d'accueil avec un dossier psychiatrique à charge, mais très vite Ghin s'était révélé un enfant ambitieux capable de surmonter ses frayeurs. C'était tout du moins le diagnostic des chercheurs... Ils avaient tort.

Ghin n'allait pas bien, elle le savait mais comment le lui faire comprendre? En apparence il paraissait tellement solide.

une carapace d'insensibilité le protégeait du monde car il ne voulait pas s'attacher... surtout pas.

 

Quand le jeune homme rentra chez lui, il trouva sa soeur allongée sur le canapé. Elle avait dû s'endormir en l'attendant et lui n'avait pas pensé à la prévenir de son retard tardif.

Il la prît dans ses bras et l'emmena dans sa chambre. Elle revâssait, encore...

- Non maman ça chatouille! dit elle en riant

Elle devait sans doute se rappeler le premier noël qu'ils avaient passés ensemble. Le premier depuis qu'il était arrivé dans la famille.

Dès qu'elle fût installée, il se dirigea vers sa chambre et ouvrît les fichiers conçernant Rimwood. Il connecta son oreillette bluetooth à son PC et aussitôt six fichiers de données audios se téléchargèrent sur l'appareil.

Son micro faisait des merveilles, quatre enregistrements sur six étaient pour ainsi dire inutiles tandis que le troisième et le cinquième semblaient particulièrement fructueux.

Cet idiot avait fait installé une commande vocale de décryptage de fichiers. En gros avec le code secret qu'il avait cité, Ghin avait accès à toutes ses informations personnelles. Jamais il n'aurait espéré progressé aussi vite.

Néanmoins, l'autre enregistrement l'intéressait un peu plus au fur et à mesure que les propos s'écoulaient dans son oreille. Il s'agissait d'une conversation avec la certaine Judith qu'il avait rencontré de manière assez brève. Voila un facteur qui pouvait servir.

Si il comprenait bien, cette jeune fille était son joujou scolaire et d'après les efforts que Théodore déployait pour la combler, il tenait à la garder. Voila qui devenait iintéressant. Un plan commença à germer dans son esprit, il jeta un coup d'oeil vers la porte de la chambre de sa soeur. Il était temps pour elle d'entrer en jeu.

 

Judith Answer était ce qu'on appele une arriviste. Fière de ses remarquables résultats en Lettres et Langues, elle voulait néanmoins s'assurer un solide avenir et tant pis si pour ça il fallait coucher avec le doyen.

Assise dans la salle de projection qu'elle avait réservée, elle achevait de préparer son diaporama pour . Ses lunettes posées sur son nez lui conféraient un air de fayotte plus que de nympho et personne dans l'Université ne la soupçonnerait de quoique ce soit de ce genre.

A son agréable surprise, elle vît entrer le jeune homme de la dernière fois.

- Bonjour! dit elle avec un sourire plus coquin qu'aimable

Ghin répondît à son tour en s'approchant d'elle.

- Judith, c'est cela?

Elle acquiesça avnt de le voir ôter sa carte mémoire pour y mettre la sienne.

- Ce ne sera pas long! assura t'il Je veux juste te montrer mon projet sur les femmes carriéristes de la Littérature française.

Elle parût intriguée par ce prétendu exposé puis poussa un ci en voyant la première image s'étaler en gros plan sur le mur. N'importe qui serait entré dans la salle et sa carrière à Oxford serait compromise.

Ghin laissa défiler les photos sous le regard estomaqué de la jeune fille.

- Arrêtes ça tout de suite! ordonna t'elle. Ou as tu eu ça?

 

L'image en question la montrait servant d'escort girl au doyen, puis la suivante détaillait avec précision un strip tease improvisé pour le quadragénaire.

Ces photos avaient étés prises à l'aide d'Hélyce qui avait dû intégrer un club de gogo danseuses pour avoir accès à cet endroit particulier ou se retrouvait le fameux couple.

Ghin s'approcha de la jeune fille qui s'était mise à trembler depuis le début de la diapo.

- Qu'est ce que tu veux? demnada t'elle furieuse.

- La réponse, je te renvoie la question. Qu'est ce que tu ne veux pas? Je pense non non, inutile de me mettre sur la voie. Oh oui je sais, tu veux que ces photos soient publiés, tu ne veux tout de même pas que je les garde pour moi, elles sont bien trop belle.

- Tu vas me faire chanter?

- Non, tu me rends un service et je t'en rendrais un en ne rendant pas publique ces photos.

- Lequel? demanda t'elle en tentant de reprendre contenance.

- J'ai besoin que tu poses une caméra dans le bureau du doyen.

- C'est une blague? demanda t'elle

- Tu as raison, diffusons ces photos un peu partout et nous allons rire... dit il cynique

- D'accord, je vais le faire, mais je veux la garantie de te voir les déruire.

Ghin agita l'index en signe de négation.

- Pas de conditions ni aucune liberté, dès que j'ai eu ces photos en ma posséssion tu m'appartenais déja. Contente toi d'obéir et ne t'avises pas d'en informer le doyen. J'ai une vengeance à lui faire subir et tu ferais bien de ne pas appartenir à mes ennemis.

La jeune fille opina. Elle allait s'exécuter; tout du moment qu'il l'épargnait car Judith le devinait Ghin n'allait pas bien.

L'adolescent quitta la salle; "Contentes toi d'obéir Judith, n'essayes pas de comprendre... n'essayes pas..."

 

songea t'il amèrement.Mr Zamenhof... Ce nom ne m'est pas inconnu
Par Lyam - Publié dans : Fiction
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Jeudi 31 juillet 4 31 /07 /Juil 17:51

 I hate him: Je le hais

 

Ghin Zamenhof venait d'être admis à La prestigieuse université Libraria. Il avait obtenu à l'aide de ses exceptionnels résultats en langues et en littérature une bourse totale lui permettant de parachever sa dernière année de Licence.

Lauréat à la bourse du mérite, on lui avait proposé de venir entamer ses deux années de Master dans cette école particulière et c'était pour lui une offre non refusable.

 

Il traversa le couloir vide et parvînt à la salle de langues étrangères; son nom de famille venait de la prestigieuse lignée de Lejzer zamenhof, un linguiste polonais qui créa l'esperanto. Allez savoir ce que c'est!!!

C'était tout du moins l'héritage de sa famille. Il n'avait rien de slave ni même aucune origine polonaise. Néanmoins, il devait reconnaître que les lettres et lui étaient en phase totale.

Il frappa à la porte et entra sur l'ordonnance du professeur.

- Mr Zamenhof je présume?

Il opina.

- Entrez et asseyez vous!

Ce qu'il fît. Une place sur le gradin du deuxième rang donnait à voir une jeune fille qui dessinait une jupe de manière très superficielle.

Il soupira, ce cours 'annonçait passionnant.

 

Assis dans un coin de la cour, Ghin feuilletait son nouveau roman" La passion débridée". Un des textes qu'il lui fallait étudier au cours de l'année. Il était question dans ce livre des origines du lesbiannisme originaire de l'île de Lesbos et de la folie amoureuse de deux femmes prêtes à tout y compris à tuer pour vivre leur antique passion.

Son déjeuner en main, il avala une cuillérée de maïs et laissa pendre la cuillère à ses lèvres quand une ombre vînt gâcher sa lecture.

Bien sûr les ramures de l'arbre sous lequel il était posté le cachait du soleil néanmoins, les feuilles laissaient filtrer la lumière nécéssaire à sa lecture. Or cet importun venait de lui gâcher un de ses grands plaisirs.

Il leva la tête et croisa un doux visage aux traits fins et souriant. Elle avait de longues boucles châtaines et des yeux de couleurs noisettes.

- Bonjour! dit elle

Il ôta l'ustensile de sa bouche et repondît. Cette tête lui evoquait quelque chose, une similitude avec un visage... un visage qu'il ne pouvait pas oublier.

- Tu viens d'arriver? Je t'ai vu en classe ce matin. Je m'appele Sandra Rimwood

- Ghin Zamenhof!

- Comme le créateur de l'espéranto? dît elle apparement très impressionnée.

Il acquiesça bien qu'il n'eût aucun lien avec cet ancêtre. Etrangement, une sensation de dérangement le survola. Il y avait chez cette fille un brin d'agaçement. Rimwood... ce nom lui était plus que familier; il resonnait à ses oreilles comme le bruit atroce d'une craie s'éraillant sur un tableau noir.

Un murmure de hantise se saisit de lui faisant ressurgir dans son inconscient un flot d'images passées tandis qu'il entretenait la conversation avec sa nouvelle connaissance.

- C'est ton père le magnat des bourses et finances? demanda t'il

Elle acquiesça.

"Parfait" pensa t'il en tentant de dissimuler toute émotion sous un masque de neutralité total.

- C'est également lui qui dirige cette école?

- Oui...

Il marqua un temps d'arrêt, il était temps de jouer à un de ses jeux favoris. "Tu dois savoir que la torture dure plus longtemps Sandra..."

- Ce ne serait pas également celui qui finançe des campagnes d'abbatements en vue de fournir ses usines de papiers.

Elle pencha la tête de côtée et grimaça.

- C'est papa! dit elle avec une exclamation ironique

- Ca ne te fait rien de savoir que des milliers d'espèces animales ou végétales ont disparu pour que ton père fabrique une série de billets qui lui serviront à acheter des engins de morts?

Elle esquissa un geste de recul. L'adolescent jubila intérieurement. C'était en géneral l'effet que produisait Ghin sur la majorité de ses interlocuteurs. Un franc parler cassant que tempérait une façade acceuillante.

- En tout cas si tu as besoin de quelqu'un pour te guider, n'hésites pas à me faire signe. fît elle embarassée

- Je n'y manquerais pas! assura t'il

Il reprît sa lecture tandis qu'elle s'en allait. Un demi sourire fendît le visage de Ghin, tout allait pour le mieux.

Sandra se retourna mais ne vît que ses cheveux auburns danser sur son front. Dès qu'elle fût assez loin, Ghin se mît à sourire, son plan arrivait à terme.

*

Theodore Rimwood avait fait pas mal de dégâts dans sa jeunesse et sans s'en rendre compte, il avait accueillit en son sein une de ses erreurs qui allaient lui coûter cher. Mais pourtant, à l'âge tendre de quarante ans, il s'était assagi. Peu fière de ses actions douteuses dans l'industrie du papier, il pouvait néanmoins se vanter de posséder une banqueprospère, une université réputée et une fille honorable.

Confortablement installé dans son fauteuil en velours noir, il repensa à son inévitable succès avec un sourire.

Les lèvres de Judith faisaient un travail merveilleux au creux de ses reins.

- Prends ton temps, nous n'allons pas êtr dérangé. dit il dans un souffle

L'adolescente écarta une mèche verte de ses cheveux teints.

A travers la vitre teintée de son bureau situé au cinquième étage du deuxième batîment des lettres et sciences humaines, il vît s'offrir à lui le spectacle coutumier de son école. un peu plus loi, sa fille qui allait vers un étudiant.

Ils discutèrent brièvement comme elle avait coutume de faire pour les nouveaux élèves.

C'était vraiment un ange, tout comme sa mère. Une femme bien trop respectable pour lui faire une fellation, acte qu'il devait effectuer avec une étudiante.

Il posa légèremment ses grandes mains hâlées sur la tête de la jeune femme pour l'encourager à poursuivre et jeta un coup d'oeil au dehors.

L'adolescent avec qui discutait Sandra traversa la cour et sembla jeter un oeil vers son bureau. Imùpossible, il était tout à fait impossible qu'il puisse le voir et encore moins savoir ou il se trouvait... Pas dès son premier jour. pourtant son regard insistant faisait naître en lui une légère once d'inquiétude.

"Allons, Théo détends toi, profite de ta caresse! se dit il"

Depuis la cour qu'il traversait, Ghin perçut quelque chose. Un intense malaise, quelque chose de virulent... Il s'arrêta puis se remît à marcher.

- Je vous tiens ordure! murmurra t'il

 

De retour dans son modeste appartement, le jeune homme ne prît pas la peine de vérifier quoique ce soit. Il déballa son ordinateur et entama un dossier spécial intitulé Némésis en hommage à son projet de vengeance.

un giga octets de fichiers conçernant la famille Rimwood apparût, et dans le lot un cahier de bord personnel destiné à sa rédaction personnelle. Il brancha son casque et son micro et enclencha le logiciel de dictée électronique.

"Le 17 octobre, prise de contact avec le sujet Sandra Rimwood. cible éventuelle à atteindre dans le projet."

Et tandis qu'il refermait le poste, une idée sublime commença à germer en lui, une vengeance digne du crime commis...

*

Il s'agissait d'un habituel Dimanche sauf que ce dimanche habituel était celui de la veille de Noël. Ghin et sa mère traversaient la ruelle. Ils allaient faire des courses au centre commercial pour fêter leur deuxième Noël ensemble. Alors âgé de dix ans, le pré adolescent s'était proposé de faire un cadeau particulier à sa nouvelle soeur Hélyce.

Durant tout le temps que dura leur promenade, sa mère gardat la tête baissée en lui adressant occasionnellement quelques sourires chargés de tristesse.

- Maman, j'ai vu une peluche dans la vitrine la bas pour Hélyce.

Elle parut soudain revenir à la réalité à la simple évocation de ce prénom.

Elle lui tendît un billet de cinquante euros et le serra contre elle, ses longs cheveux naturellement gris lui caressant le visage. Elle l'embrassa longuement mais lui ne songea que ce ne devait être qu'un câlin affectueux.

- Tu es grand maintenant, tu veilleras sur ta soeur en bon grand frère.

Il acquiesça et partît vers le magasin. Quand il en sortît une dizaine de minutes plus tard, il chercha sa mère du regard mais ne la vît pas. tout ce qu'il vît c'est ce corps sauté du toit qui s'ouvrait en une sorte de dôme en verre donnant sur une fontaine centrale.

Il serra un peu plus l'elephant rose à paillettes qu'il venait d'acheter pour sa soeur.

- Je crois que c'est son fils... dit une femme dans l'agitation en le désignant du doigt.

Il s'approcha un peu plus, on tenta de le retenir mais il reussit quand même à passer. Sa mère gisait dans son sang, les os fracassés, une lamelle de verre au travers de la gorge.

Ghin voulut crier, mais son cri s'ettouffa dans sa gorge. sa mère avait...

Allongé sur son lit, l'adolescent laissa perler deux larmes. Il serra un peu plus l'oreiller sur lequel était posé sa tête jusqu'à en crever les coutures.

 

Le lendemain au lycée, Sandra chercha du regard le jeune homme de la veille. Il portait un bandana bleu pour retenir ses cheveux. Cela lui allait bien, même si elle se sentait nouille de le poursuivre ainsi. Si il avait eu besoin d'elle, il l'aurait contacté.

Oh et puis zut, si elle voulait fraterniser il fallait qu'elle aille de l'avant.

- Ghin!

Le jeune homme soupira en entendant sa voix mais se retourna quand même pour la saluer. Après tout, il valait mieux en faire une amie pour mieux l'exploiter ensuite.

- Salut! lâcha t'il

- Mon père voudrait te rencontrer. Il tient à être présenté à chaque nouvel élève boursier.

- Tiens donc! dit il en cachant une grimaçe.

- Tu veux le voir cet après midi?

- Je 'y tiens pas trop. avoua t'il

- Pourquoi? s'enquît elle

Il détourna son regard, cherchant en lui une réponse valable à présenter. Son coeur battait contre sa poitrine et lui murmurrait le phrase à sortir.

"Parce que je le hais! Tu m'entends? Je le hais!"

 

eût il envie de crier
Par Lyam - Publié dans : Fiction
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Samedi 19 juillet 6 19 /07 /Juil 02:22

Ma soeur, mon amour

( other version)

On dit souvent que la vengeance est une mauvaise chose. Qu'elle tue l'âme avant de la détruire.

Ghin sait quel est le goût de ce sentiment amer... pour avoir éprouvé de la haine durant neuf longues années. Mais tout comme le blé qui fermente pour donner cette bisson alcoolisée, il a sû préparer méticuleusement sa vengeance. Se montrant patient et osbtiné avant de pouvoir mettre au point sa vengeance.

Mais tout comme la boisson étonne par son goût, n faut il pas t'attendre à des surprises Ghin?

Faîtes donc honneur à cette histoire passionnelle et passionnée. Que devras tu attendre de ta vengeance Ghin?

Par Lyam - Publié dans : Fiction
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Samedi 19 juillet 6 19 /07 /Juil 00:55

Ma soeur, Mon amour

"Ma soeur mon amour; j'adore me répéter cette phrase"

Cela ferait bientôt six mois qu'ils ne s'étaient pas revus; depuis quelle avait dûe retournée en France pour terminer ses études et passer ses partielles.

"Quand je la verrais, je lui ferais un immense baiser; langoureux; sensuel; passionné"

Tant de temps s'étaient écoulés entre les funérailles de ses parents; de leurs parents...

"Avant je la prendrais dans mes bras; je lui dirais que je l'aime. Qu'elle peut venir vivre avec moi. Mon travail de cadre me le permet, je saurais te fournir ce dont tu auras besoin. Tout ce que je veux c'est que tu restes auprès de moi."

Parvenu à l'aéroport, une silhouette émergea du hall de réception; cette silhouette était fine tout en restant naturel, elle faisait onduler ses courbes au même rythme que ses cheveux gris ternes. Ilmy sourît à sa vue, pensant aux multiples étreintes qu'ils échangeraient.

Elle le vît, il lui fît signe et sa vie bascula...

A côté de sa soeur, son amour, un jeune homme marchait. A peu près la même taille qu'Ilmy un mètre quatre vingt cinq dans les vingt ans tout comme lui. Seul différait leurs couleurs de cheveux éparses, le teint hâlé de l'étranger, son attitude charismatique et ses muscles saillants.

- Bonjour! dit elle en l'embrassant

Elle lui effleura la joue de ses lèvres onctueuses, il en frémît longtemps après l'échange. Puis elle s'agrippa à son col et lui sourît. Un de ses sourires qui le faisait fondre. Il sourît à son tour ébouriffant ses propres cheveux gris mais son sourire se perdît en apercevant le bellâtre.

Une fois installés dans la limousine, la tension était plus que palpable. Mern puisque c'était son nom gardait les bras autour de Vénus.

Vénus était tout pour lui, ils s'accordaient à merveille. Leurs corps imbriqués dans les étreintes passionnelles étaient dignes d'un tableau de Rubens.

Ilmy gardait les yeux rivés sur les cuisses de sa soeur.

Il se souvînt de l'été dernier ou cela s'était produit pour la première fois. C'était à l'occasion de la mort de leur père... Durant toute la cérémonie, il avait calfeutré contre lui ce corps délicieusement assorti à sa corpulence généreuse. Vénus était très douce et c'était un tel drame de la voir souffrir. Aussi quand leur père était mort, ils avaient trouvés naturels de se réconforter entre eux et elle de passer la nuit chez lui.

Il se dépoussiéra l'épaule époussetant le mouton de laine qui dépassait de sa veste coupée sur mesure. Cette épaule qu'elle avait embrassée...

La pluie avait commencée à tomber dans le début de l'après midi. Les gouttes se répercutaient sur la verrière de l'appartement grand luxe d'Ilmy. Assis en face d'elle il lui tendît un verre de thé fumant. Celle ci tremblait légèrement encore sous le choc après les funérailles.

Elle renversa le thé sur la table sans le vouloir.

Elle se le va pour l'éponger et...

Son frère la considéra, un brin agacé par cette arrivée inopinée. Pourquoi sa soeur avait elle ramenée cette espèce de pathétique gravure de mode? Ce qu'ils avaient échangés ne signifiaient donc rien pour elle?

Ils finrent par arriver à sa superbe résidence. Il n'y avait rien à redire quant à sa place dans l'échelle sociale.

*

Peu après le dîner alors qu'il travaillait dans son bureau, vénus s'y faufila prenant soin de fermer la porte derrière elle. Elle ne portait qu'une mince nuisette transparente et ses cheveux fraîchement lavés sentaient bon la citronnelle.

- Ilmy on peut parler? demanda t'elle

- ,Je t'écoutes! dit il sans lever les yeux de ses documents.

Il ne fallait pas que sa demi soeur s'attende à un autre traitement de sa part; pas après la façon dont elle jouait avec ses sentiments.

- Ne sois pas fâché, mais je devais l'amener. Pour moi... toi et moi sommes conscients de ce qui s'est passé

- Tu sais très bien que l'amour que je te portes est tout autant dans le respect que dans notre estime mutuelle. Nous savions tous les deux que ce n'était pas un simple accident dû à une blessure émotionnelle.

- Ne joue pas au psy! Je pense que tomber amoureuse de toi serait une erreur pour toi comme pour moi. Mern sera là pour contenir cette tentation.

Sur ces quelques mots, elle s'était levée pour partir mais Ilmy l'avait rattrapé avant que sa main ne se referme sur la poignée de la porte.

Il la retourna contre lui l'obligeant à le regarder. ses yeux en disaient longs sur son désir à peine contenu. Vénus elle aussi éprouvait cette attirance particulière pour lui.

Elle avança ses lèvres et dans une ultime cessation brisa les quelques traits de résistance qui lui restait.

Leurs lèvres intimement mêlées offraient à leurs corps la perspective de découvrir la tension amoureuse qui était la leur.

Quand elle se dégagea, Vénus regarda son frère illégitime dans les yeux.

- J’éprouve tant de sensations dans tes bras…

Il parvînt à réaliser ce qu’elle venait d’admettre. Elle l’aimait, tout comme lui l’aimait. Un amour sans borne au delà de l’affection fraternelle.

- Embrasses moi ! dit elle

Il se pencha vers l’avant saisissant la pulpeuse borne de chair qui lui était due. La jeune fille gémît en sentant les mains d’Ilmy caresser ses cuisses.

Elle décolla ses lèvres et lui murmura à l’oreille : Il faut qu’on arrêtes !

Mais son frère n’était pas de cet avis, il resserra son étreinte autour d’elle et se mît à l’embrasser dans le cou.

Le corps de l’adolescente réagit malgré elle et se cabra pour mieux savourer ses baisers qui se perdaient maintenant dans son décolleté.

Tandis qu’elle se perdait dans le tourbillon de sensations, elle se rappelait son histoire à elle et à son frère. Son propre père avait un jour ramené un pré adolescent à la maison. Ilmy devait avoir dix ans tandis qu’elle n’en avait que sept. Après onze ils se retrouvaient intimement enlacés dans les bras de l’un comme de l’autre. Mais c’était si bon, ils n’avaient qu’un lien de sang paternel mais elle ne voyait pas Ilmy comme son frère, plus comme un très bon ami. Un ami qui savait lui procurer de très bonne sensations.

Elle revînt a elle pour constater qu’ils ne se trouvaient plus dans le bureau mais dans sa chambre. Elle passa ses mains autour de son cou et l’attira à lui tandis qu’il achevait de la déshabiller.

Ilmy sentît une douce pression au niveau de sa hanche quand sa demi sœur, son amour empoigna les bords de son caleçon.

Voilà une perspective qui lui plaisait. Ce soir comme il y a six mois, ils allaient se prouver leur amour…

Il l’embrassa tendrement avant de reprendre son étreinte.

*

- Tu n’auras pas résisté longtemps. Fît remarquer Ilmy en caressant son épaule

- Je sais, mais j’en avais trop envie. Il faudra que je trouve plus désirable que Mern si je veux te résister la prochaine fois. Dit elle avec un sourire.

- Tu sais bien que c’est impossible… dit il en prenant ses lèvres une fois de plus.

Six mois plus tard, tandis qu’Ilmy achevait de trier ses documents, on sonna à sa porte. Il alla ouvrir et découvrit sa sœur qui embrassait une autre jeune fille. Elles se dégagèrent et lui sourirent.

Allons bon, voila qu’elle remettait ça…

-

Je suis désolée... dit elle

- Ce n'est rien. argua t'il en ôtant la tasse tendît que le liquide bouillant se répandait sur son pantalon noir.

- Et donc, Mern va rester avec moi pendant ces vacances. acheva Vénus

- Oui, je lui dirais tout ça !

pensa Ilmy en marchant joyeusement vers l'aéroport.
Par Lyam - Publié dans : Fiction
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Vendredi 18 juillet 5 18 /07 /Juil 17:49

alors ça je c pas encore tro ce ke ce sera. je lécris par intermittence avec une amie
mais bon c pas o point

 

Mimour regarda l'étranger charismatique comme il se plaisait à l'appeler.

Sa longue mais contenue chevelure argentée renvoyait des éclats de lumière dû à l'écalairage de la ruelle. Il le vît faire tournersa faux d'un mouvement rapide, imossible pour une main hmaine.

Peut être était il comme lui...

Il retînt un cri en voyant la lame se ficher dans le cou de l'homme. Il recula légèrement percutant une vieille cannette vide.

Son coeur se serra un peu plus quand il vît sa tête et surtout ses yeux d'une couleur froide le fixer.

 

IL fixait impassiblement la faible créature qui se débattait en face de lui. Saisissant sa nuque, il le plaqua violemment contre le mur crasseux de cette sombre ruelle. Il plongea son visage dans son cou et lui mordît la pointe de l'oreille.

- Tu sais que t'as une belle gueuele? dit il en accentuant la pression de ses doigts sur la gorge sérrée de la victime.

L'homme en face de lui gigotait, respirant de plus en plus difficilement.

- C'est pour ça que tu vas crever!

ce faisant il le projeta au sol avec une violence inouïe, extrayant de sa ceinture une canne sur laquelle il tira un coup sec. une faux pourvue d'une large lame se déplia et tournoya dans sa main poussé par une force télékinésique. Et dans un bruit atroce, la lame s'enfonçer dans le cou de ce pauvre type.

Le sang parsema le sol délabré et insalubre; il savourait le spectacle. Voir cette chair se vider de son sang tandis que la tête se balançait nonchalement sous l'effet de légers spasmes de dernière heure.

Puis un soudain cliquetis de cannette attira son attention sur l'adolescent.

- C'est ce qui t'excites à ton âge?dit il d'une voix grave

Et avant que Mimour n'ait pû comprendre, il fut propulsé face à lui enveloppant la lueure venant de son dos de par sa longue cape noire.. Il se pencha vers cet individu mâle même pas adulte aux souples cheveux gris bleus et au regard grisé. Les courbes et traits de son visage attestaient d'une période de pleine puberté.

- Vous allez me tuer? demanda Mimour

Un lent sourire éclaira le visage de l'étranger charismatique.

- Pourquoi pas? De toute façon tu ne manquerais à personne! affirma t'il avec sadisme

Mimour recula un peu plus. Cet homme l'effrayait de plus en plus mais l'intriguait tout autant.

- T'inquiètes pas! Je ne vais pas te tuer... encore que. dit il en s'approchant un peu plus de lui. Dis moi juste ton nom!

- Mimour!

Il esquissa un sourire et ne pût s'epêcher de riretellement le nom lui parût ridicule.

- C'est mon nom qui vous fait rire? s'emporta celui ci.

Durant une seconde, Il fût impressionné par la hargne et l'audace de ce petit être. Après tout il venait bien de tuer quelqu'un sous ses yeux; il savait de quoi il était capable.

Il tenta de rprendre son calme face à cette démonstration de cran et de courage; ce dont manquait la plupart de ses victimes.

- Oui! avoua t'il. Et tu peux être fier de m'avoir fait rire. Ce n'était pas arrivé depuis longtemps... concéda t'il.

Il esquissa un sourire et fît unclin d'oeil à sa nouvelle rencontre et dans une légère brise, il disparût.

 

Mimour regarda longuement l'emplaçement ou se trouvait l'étranger charismatique. Au dessus de lui, la lune étincellait dans ses feux argentés comme les cheveux de l'inconnu.

Par Lyam - Publié dans : Fiction
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  • : 08/07/2008

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