L'Art

 

Il n’y a de vraiment beau que ce qui ne peut servir à rien. Tout ce qui est utile est laid, car c’est l’expression de quelques besoins et ceux de l’homme sont ignobles et dégoutants comme sa pauvre et infime nature.


Manifeste de l’art pour l’art ; Emaux.

Théophile Gauthier

Des choses à dire...

Avertissement:
Ce blog contient des textes à caractère sexuelles.


Homphobes, racistes
et tout emmerdeurs à venir je ne vous retiens pas!!

Bon vent!

 
Mardi 11 novembre 2 11 /11 /Nov 14:46

8) Mal être

- Helena?

- Désolé si j’arrive à l’improviste, mais je voulais m’excuser. Ce n’est pas dans mes habitudes d’être aussi véhémente mais il y a quelque chose chez la prof de grec qui ne me revient pas.

- J’ai arrêté les expériences avec elle.

- Ah…

Ils se regardèrent un instant puis la jeune femme remarqua qu’il allait laver sa voiture.

- Tu veux un coup de main? Proposa-t-elle

- Je dirais bien oui mais tu n’es pas habillé en conséquences. Fît remarqué Théos

- J’peux t’emprunter de vieux vêtements. Je m’ennuie avec tous ces oiseaux par pitié ne me renvoie pas la bas. Mima-t-elle.

Le jeune homme se mît à rire face à son ton faussement pathétique et daigna bien lui prêter quelques vêtements.

Il avait déjà commencé à nettoyer sa voiture quand Lyna arriva. Il y avait longtemps qu’on ne l’avait pas vu celle là!

- Salut Théos.

- Tiens, tu es habillé cette fois. Plaisanta-t-il

Elle soupira avant de reprendre.

- Je n’y peux rien si tu nous a surpris dans cette situation inconfortable. J’étais bien dans ma chambre?

- Ou tu m’as habitué à entrer sans problèmes. Mais t’as raison, on va pas se fâcher pour ça.

- Voilà, je suis une grande fille; tu veux que je t’aides avec ta voiture? Proposa-t-elle

- C’est-à-dire que…

Au même instant, Helena sortît de la maison avec une chemise nouée autour de la poitrine mettant à l’air son nombril ainsi qu’un mini jean.

- Ta sœur a bien voulu me passer un de ces jeans. Dit elle avant d’apercevoir Lyna

Elle se dirigea vers elle et l’embrassa le plus naturellement que possible car c’était ce qui lui apparaissait le plus évident à faire.

- Tu dois être Lyna, je suis Helena, je viens d’arriver.

- Enchanté. Mentît elle

Elle n’aimait pas du tout ses airs sains et son attitude.

- Bon ben puisque tu as tout ce qu’il te faut, je vais vous laisser. Dît elle

Théos ne chercha même pas à la retenir, l’esprit du pauvre garçon était resté sur la sortie de Helena en petite tenue.

*

- T’as de la mousse sur la joue. Fît remarquer la jeune file. Bouge pas, je vais t’enlever ça.

Et sur ce, elle pointa le tuyau d’arrosage vers lui. Il se retrouva bientôt trempé de la tête aux pieds. Son amie partît dans un fou rire proche de l’hystérie.

- Ravie de voir que ça te fasses plaisir. Di il ironiquement

- C’est bon détends toi!

- Non je ne peux pas.

Il leva la tête vers elle. celle-ci s’approcha et le serra contre lui.

- J’ai lu que serrer quelqu’un contre soi libères une substance euphorisante.

Théos sourît et passa ses bras autour d’elle.

- Merci. Dît il simplement.
********************************************************************************

excusez moi j'ai un peu beugué!!!

Par Lyam - Publié dans : Fiction
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Mardi 11 novembre 2 11 /11 /Nov 13:58

13) Toutes ces choses que tu m’as faîtes…

-          De toute ces choses que tu m’as faîtes, m’abandonner était la pire.

-          Essayes de comprendre. Je n’avais plus ma place ici, je devais partir.

-          Je ne veux plus te faire confiance. Je n’en n’ai pas la force.

*

-          Tu veux bien éteindre ces absurdités ? s’insurgea Ményl

-          Steuplaît maman, je regarde juste la fin. J’ai l’impression qu’ils vont se remettre ensemble. Dît Minerve à sa mère.

-          Il l’a abandonné, elle ne reviendra pas vers lui.

-          Mais maman ils s’aiment ! affirma la petite fille avec conviction

Ményl sourît. L’amour, un concept complètement révolu. Sa petite fille adorée était encore trop jeune pour lui briser ses petites illusions ; laissons-la croire que les hommes sont des êtres gentils et attentionnés avant de lui enfoncer le poignard de la vérité dans le cœur.

-          Ok encore dix minutes de bêtises après ça tu vas te doucher puis te coucher ! dît-elle

Elle embrassa sa mère sur le front avant de se replonger dans son feuilleton. Ményl fît rapidement un tour à l’étage ou elle prépara son lit et ses affaires de toilettes. Ceux de Minerve étaient déjà rangés. Cet enfant avait été sa source de responsabilisation ; elle ne pût s’empêcher de repenser à Tony.

-          Maman ton amoureux est là ? dît Minerve depuis le salon

Ményl descendît en vitesse. La jeune fille était devant la porte debout sur un tabouret regardant par le judas pour voir si elle apercevait la voix qui lui parlait.

-          Qui est ce ? demanda Ményl

-          Non !

-          Quoi ?

-          C’est comme ça qu’il m’a dit qu’il s’appelait.

La jeune femme la fît descendre et regarda à travers l’interstice. Nan était debout sur le seuil de la porte.

-          Chérie, monte prendre ta douche, maman dois parler.

Elle opina avant de rejoindre l’étage. Ményl prît une profonde inspiration puis ouvrît la porte. Nan le salua mais elle ne le fît pas entrer pour autant.

-          Qu’est ce que tu veux ? demanda t’elle

-          Tu as une fille charmante.

-          A l’image de sa mère. Autre chose ? demanda t’elle sèchement

-          On n’a pas vraiment parlé la dernière fois. Ou du moins je ne t’en ai pas dis suffisamment.

-          Tu veux entrer ? dît-elle finalement

Le jeune homme s’assît dans le salon suivi de Ményl. Ils se regardèrent longuement, ne sachant quoi dire après autant d’années mais plus encore après de tels évènements.

-          Tu veux peut être m’expliquer pourquoi tu es parti en me laissant sur un lit d’hôpital ? s’enquît Ményl

-          Tu ne te rappelais plus de moi, et puis je me sentais coupable de ce qui c’était passé.

-          Parce que tu connais le sens de ce mot ? s’indigna Ményl. Quand Alfred est mort il me semble bien que tu ne t’es pas présenté à ses obsèques.

-          J’étais là…

-          Tu étais revenu ? dît elle légèrement déstabilisée

Nan opina. En effet il était revenu pour les funérailles du majordome mais il n’avait pas su affronté Ményl. Il était reparti aussitôt que le vieil homme avait été enterré.

-          Je vois que tu as bien évolué. Dit il pour éloigner le sujet.

-          Nan… je ne suis plus la même. J’ai changé.

-          Je l’avais bien vu. Tu es encore plus belle qu’avant. Dît il en se penchant vers elle.

-          Il n’y a pas que ça… Toutes ces choses que tu m’as faîte j’en ai tiré une grande leçon. La pire d’entre elles c’étaient ton départ. Tout ça m’a rendu plus forte. Si tu savais ce dont je suis capable désormais… dit elle en baissant la tête et en passant ses bras autour de sa poitrine.

Nan l’observa stupéfait par le ton douloureux de la jeune femme. Elle n’avait plus rien à voir avec l’ancienne Ményl. C’était une nouvelle femme qu’il avait en face de lui. Aurait il malgré tout réussi son projet de départ de l’endurcir ? Si oui, il le regrettait.

-          Ményl… dît il en passant sa main sur sa joue.

La jeune femme l’écarta tout en la prenant dans ses mains. Elle la caressa un instant puis la repoussa vers son propriétaire.

-          Je n’ai plus rien à te dire Nan, je t’ai attendu depuis trop longtemps. Je regrette.

-          Pas moi et je n’abandonne pas Ményl. Dit il en refermant sa main sur la sienne. Je suis revenu pour que tu sois à moi, il n’en sera pas autrement. Affirma t’il

*

L’eau semblait s’écouler au ralenti sur son corps. La jeune femme frémissait de sentir ainsi le froid la taquiner. Elle tenta de se rafraîchir le visage avec les résidus d’eau qui perlaient du siphon. Sans grand succès. Elle repensait aux paroles de Nan et à l’effet qu’elles avaient eu sur lui.

Elle sortît de la salle de bain en peignoir et alla voir sa petite chasseresse. Celle-ci ne dormait pas encore, feuilletant un livre à la lueur de sa lampe torche.

-          Tu dois dormir, c’est l’heure. Dit elle

Elle acquiesça et ferma son livre puis elle se redressa et se pencha vers sa fille.

-          Ton histoire avec Mr Non ca va bien finir pas vrai ? C’est comme à la télé ?

Ményl l’étreignît et lui caressa les cheveux en la rassurant.

-          Je voudrais bien que ce soit aussi simple ma chérie.

-          Mais ça l’est. Il t’a demandé pardon. Il a dit qu’il ne voulait que toi, c’est comme le policier à la télé.

-          Tu nous espionnais ? demanda sa mère légèrement amusée

-          Bah j’ai pas vu la fin du feuilleton et puis c’est bien mieux dans la vie réelle.

-          Oui… C’est surtout plus douloureux. Confessa Ményl avant de l’embrasser et d’éteindre la lumière.

Elle sortît de la pièce, fît quelque pas avant de s’effondrer en larmes devant la porte de sa chambre.

« C’est surtout plus douloureux… »

 

 

Par Lyam - Publié dans : Slave (fini)/ SM
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Lundi 10 novembre 1 10 /11 /Nov 22:51
Lol! Ca c'est le cadeau que Ményl a offert à Nan pour son anniversaire. comme on me l'a offert alors ça m'a donné l'idée.
Sont ils pas mignon Nan et Ményl? Quoique ça pourrait très bien devenir Ményl et Nan muahaha. Lool a vous de voir...



Par Lyam - Publié dans : Slave (fini)/ SM
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Lundi 10 novembre 1 10 /11 /Nov 22:46

12) Slave of your passion

 

-          Quand je te disais de t’activer, cela ne voulait pas dire entrer dans la voiture d’un civil. Comment tu vas ? demanda sa secrétaire, une svelte jeune femme à l’abondante chevelure blonde.

Ményl repensa à la rencontre inopinée qu’elle avait faîte ainsi qu’à la gifle qu’elle avait donné à Nan.

-          Plutôt bien. Qu’en est il des investisseurs ? demanda t’elle

-          La bonne nouvelle c’est qu’ils veulent bien programmer une autre réunion.

-          Ah et la mauvaise ?

-          Tu es entrée en collision avec l’un deux. Confessa-t-elle

-          Pitié Maya dis mois que c’est une blague.

La jeune femme grimaça. Ményl soupira avant d’entrer dans son bureau.

-          Euh non… avant d’entrer je dois te dire que…

Mais elle était déjà séparée de sa patronne par une vitre teintée à fermeture automatique.

*

Ményl fût d’abord surprise par l’obscurité planante de son bureau, puis se dît qu’elle n’avait pas remis les pieds ici depuis deux jours. Elle lança son manteau et son sac sur le canapé avant de se diriger vers les volets.

-          Tu n’aimes pas l’obscurité ? dit une voix

La jeune femme sursauta puis la reconnût. Elle laissa tomber la poigne qu’elle exerçait sur le rideau.

-          Restons dans le noir, c’est plus commode pour ce que j’ai prévu.

Elle sentît deux bras puissants la saisir à la hanche pour l’attirer contre lui.

-          Est-ce que tu as continué de m’aimer Ményl ? demanda Nan

Elle ne répondît pas, se laissant faire. A nouveau esclave de ses mains délicates.

-          Tu as raison, laisse ton corps répondre pour toi. Dit il en caressant son dos avant de remonter vers les boutons de sa chemise.

Il caressa sa nuque et entreprît de joindre leurs lèvres, sa main se perdant sur sa magnifique cuisse de gazelle.

La jeune femme ne tenta pas de se libérer. Elle ne parvenait pas à ignorer l’emprise de Nan sur son corps. Comment faisait il ?

-          Je sens que tu aimes… dît il en perdant une de ses mains entre ses cuisses.

Il laissa courir son doigt sur sa fine culotte et posa ses lèvres sur sa nuque.

-          J’en suis même certain. Dit il en retirant sa main de son intimité.

Il entreprît de libérer sa poitrine et fît sauter les boutons de son haut. La jeune femme se cramponna à sa veste s’arquant pour mieux glisser sa jambe le long de sa hanche.

Le jeune homme l’appuya contre son bureau avant de défaire sa jupe. Ce fût à cet instant que Ményl le repoussa.

Il la regarda étonné. Surpris de voir qu’elle ne paraissait ni déstabilisé, ni même sous sa totale emprise. Comme c’était le cas avant. Il aurait même pu dire d’après son sourire qu’elle maîtrisait la situation.

-          Ce n’est plus comme avant Nan, j’ai changé. C’est moi qui domine désormais et tu n’as plus de contrôle sur moi.

-          Ce n’est pas ce que j’ai cru comprendre entre tes bras.

-          Regarde-toi ! dît elle en désignant son pantalon d’où paraissait une bosse plus qu’équivoque. De nous deux je ne suis pas la plus éprise. Plaisanta-t-elle

Nan était sidéré. Il était battu par Ményl. Comment ? Celle-ci acheva de se rhabiller et s’approcha de lui tout en tirant sa cravate vers elle, lui mordilla l’oreille.

-          Désormais c’est toi qui seras l’esclave de ma passion. Je te veux Nan mais pas comme ça …

Le jeune homme en profita pour l’embrasser. Elle ne tenta pas de se dégager ; bien au contraire.

-          Mlle, votre fille au téléphone. Dit la voix de Maya dans l’interphone.

Lentement, Nan se décolla d’elle pour l’observer. Il paraissait complètement décontenancé par les propos de la secrétaire.

Ményl marqua un temps d’arrêt avant de se ressaisir et d’aller chercher le téléphone.

-          Bonjour ma chérie…

Nan la vît assise sur ce bureau, charmé de découvrir cette nouvelle Ményl mais néanmoins horrifié par son correspondant téléphonique. Elle paraissait tellement épanouie avec ce sourire aux lèvres et cette exquise façon de rire au son de la voix de sa fille.

Quand Ményl raccrocha, il n’était déjà plus là.

Par Lyam - Publié dans : Slave (fini)/ SM
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Lundi 10 novembre 1 10 /11 /Nov 22:15

11) Retrouvailles…

Nan observa le couple d’ours en peluche sadomasochiste que lui avait offert Ményl quelques années auparavant lors de son anniversaire.

Il n’en revenait toujours pas d’avoir conservé cette chose durant trois années. Ce cadeau était la pour lui rappeler la faiblesse dont il avait l’objet ainsi que la douce personne de Ményl.  Aucune des filles qu’il avait connu durant cette longue séparation n’avait su ranimé en lui la flamme dominatrice qui s’était éteinte en même temps que lui au fond de ses eaux.

L’hôpital avait été le dernier lieu ou il l’avait vu. Mais il était de retour, bien décidé à récupérer son dû. Et son dû c’était elle. Il n’y avait plus a hésité, Ményl lui appartenait et il devait la reprendre à tout prix.

Rien ne pouvait l’en empêcher car il en avait décidé ainsi. Il regarda une dernière fois le couple de peluche et leva les yeux pour ne freiner que trop tard.

*

-          Chérie dépêche toi, maman va être en retard au travail. Cria Ményl depuis la cuisine.

Ses courts cheveux roux retombaient en une mince frange sur son front. Elle récupéra sa mallette et attendît sa fille dans l’escalier.

-          J’arrive ! cria une petite voix depuis l’étage

La jeune femme s’apprêta à ouvrir la porte quand son téléphone sonna.

-          Bon sang Ményl ou t’es passé ? La réunion commence dans vingt minutes et les investisseurs sont déjà en train d’arriver.

-          Ok c’est bon j’arrive je suis en route. Mentît-elle avant de raccrocher.

Une petite fille aux longs cheveux marron dévala les escaliers et atterrît dans les bras de Ményl. Elle l’embrassa sur le front avant de lui passer son sac au dos.

-          Ca va être une belle journée hein ? demanda t’elle

-          Celle la plus toutes les autres. Assura-t-elle

Une dizaine de minutes après avoir déposé sa fille, son téléphone sonna à nouveau et elle entrait en collision avec une autre voiture.

*

Quand Ményl ouvrît les yeux, elle ressentait malgré elle quelques doux frissons. Quelqu’un l’embrassait dans le cou, elle en était certaine. Il lui fallût un certain temps avant de réaliser qui c’était.

Nan effleura du bout des doigts le pansement qu’il avait autour de la tête puis les laissa glisser le long de la joue de Ményl.

Il avait douté en la revoyant. Cheveux moins longs, lentilles de contact bleus. Puis son souvenir s’était imposé à elle avec force. Il ne pouvait croire qu’en un coup du destin, même si il aurait souhaité la retrouvé dans d’autre circonstances.

Il se pencha vers elle et posa un léger baiser sur ses lèvres avant de glisser son visage vers sa nuque. Ses lèvres cherchaient l’endroit d’où partirait l’étincelle et posaient sur sa peau de tendres et légers baisers. Il l’entendît gémir et sourît de satisfaction avant de planter son regard dans le sien.

Ses fines mèches de cheveux grisâtres retombant sur celle plus colorées de la jeune femme. Elle sembla ne pas le reconnaître, lui semblait perdu face à elle.

Il avait imaginé ce moment autrement.

-          Nan ? dît-elle légèrement confuse. C’est bien toi ?

Il sourît émue d’entendre sa voix prononcer son nom avec autant de tendresse.

-          Si tu savais Nan, je t’ai attendu tellement longtemps…

Le jeune homme en fût touché au point de pleurer, voilà qu’elle le ramollissait. Une fois de plus.

-          Approche ! dît-elle

Il pencha son visage vers le sien et ressentît aussitôt une gifle magistrale.

-          J’en mourrais d’envie confia t’elle

 

 

Par Lyam - Publié dans : Slave (fini)/ SM
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  • : Méli Mélo de Lyam
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  • : yaoï yuri Histoires érotiques
  • : Petit coin détente, passion enfouie. Qui a dit que le sexe ce n'est pas aussi de l'amour? Les femmes entre elles, les hommes entre eux, pas de tabous juste des préférences. Et pourquoi pas... un peu de SM? Régalez vous, il y en a pour tous les goûts...
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  • : 08/07/2008

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