L'Art

 

Il n’y a de vraiment beau que ce qui ne peut servir à rien. Tout ce qui est utile est laid, car c’est l’expression de quelques besoins et ceux de l’homme sont ignobles et dégoutants comme sa pauvre et infime nature.


Manifeste de l’art pour l’art ; Emaux.

Théophile Gauthier

Des choses à dire...

Avertissement:
Ce blog contient des textes à caractère sexuelles.


Homphobes, racistes
et tout emmerdeurs à venir je ne vous retiens pas!!

Bon vent!

 
Lundi 10 novembre 1 10 /11 /Nov 21:34

                                                                                                                            

Petit topo de ma vie

 

Me, myself and you! Ce titre ne me serait jamais venu à l’esprit et je n’aurais sans doute jamais eu l’idée de raconter ça. Je me demande d’ailleurs pourquoi je l’ai fait ! Tout ça à commencé depuis que je suis revenu de cette inexplicable séance chez le psy.

*

« J’ai encore rêvé d’elle, ses longs cheveux noirs qui lui couvraient entièrement le corps. Elle émergeait de l’eau et me pointait du doigt. L’eau coulait le long de son corps. »

« Qu’avez vous ressenti en faisant ce rêve ? »

« Rien de très descriptible ; cela ne me rappelait rien d’autre que de la tristesse… Beaucoup de tristesse… »

 

-          On va essayer autre chose !  me dit le psychiatre

J’avais réussi. J’avais passé l’épreuve haut la main. Refouler le plus de sentiments possible. Rester très évasif, lui faire croire que e n’avais rien à lui dire.

Il me regardait sans doute mais je n’osais pas lever la tête. Il allait sûrement essayer son autre truc d’hypnose par l’écoute. Je n’avais pas le choix de toute façon. Mon père avait payé cette séance et je devais la faire même si cela ne m’enchantait pas ; bon sang que c’est dur.

*

On était sur une route déserte ; ce jour là on devait aller voir mes grands parents à la campagne. Je devais avoir à peine neuf ans… Maman était assise à l’avant avec mon beau- père qui conduisait ; je l’aimais bien, même si ce n’était pas mon père biologique il comptait beaucoup pour moi de même que ma mère. Elle était belle ma mère avec ses longs cheveux coulis d’un noir de jais ; cela n’allait pas du tout avec la tête brune de Davis mais ils faisaient quand même un beau couple.

Je me souviens encore comment c’est arrivé… Il faisait déjà sombre mais je ne m’inquiétais pas. Davis à sortit une bonne blague, maman et moi avons ri et ensuite…

 

Je me réveillais en sursaut les ongles enfoncés dans le canapé de ce docteur. Je me tournais vers lui, ou plutôt elle. C’était une femme comme je l’avais précédemment imaginé en entendant sa voix puis tout se brouilla à nouveau et ma vue redevînt floue, blanche et vaporeuse.

Je me laissais tomber sur le fauteuil tentant vainement de reprendre un souffle qui ne venait pas.

Cette s****e avait utilisé une autre ruse pour m’avoir ; je n’en revenais pas d’avoir revécu ce souvenir… un doute m’effleura l’esprit. Avais-je parlé durant cette transe ? Je ne voulais surtout pas qu’elle l’apprenne… Elle ne devait rien savoir et moi aussi je devais ensevelir tout cela.

Je me levais et récupérais ma sacoche en bandouillère sans grande difficulté puis d’instinct je me dirigeais vers la porte, les yeux voilés par des larmes invisibles…

 

Au milieu de la rue, je sentais plusieurs embruns ; des odeurs sucrées de pâtisserie fraîchement ouvertes et des taxis qui klaxonnaient à tout rompre. J’adorais cette ville, principalement parce que c’était une ville et non une campagne… J’ai horreur des campagnes et ce depuis toujours. Je n’irais pas en cours ce matin, j’ai horreur des profs qui me couvent et me bassinent tout ça à cause de mon handicap. Je suis aveugle pas inadapté… d’ailleurs je ne suis même pas vraiment aveugle.

A vrai dire, autant vous l’expliquer maintenant. Je perçois les choses différemment mais il n’empêche que je les vois… Sous l’effet d’un choc intense ma vue recouvre ses facultés. Je sais que c’est bizarre mais c’est mon cerveau qui travaille.

Je me suis dirigé vers un endroit que je connais depuis longtemps pour m’y être rendu très souvent. Le lac avait toujours cet embrun d’eau tiède ; je sentais le souffle calme de la brise me traverser les cheveux.

Délicatement, je m’asseyais par terre humant le duvet de saveurs que me procuraient mes narines. Je m’allongeais longuement, absorbant les fines raies de lumière que les nuages laissaient transparaître à mon attention.

 

Je n’estimais pas la durée ou je restais dans cet état de profonde béatitude et pourtant il dura assez longtemps. Assez pour que je sente la douce brise fraîche amorçant la fin de soirée. Brusquement, deux mains se plaquèrent sur mes yeux.

·         Devines qui c’est ? dit une voix féminine

·         Très drôle ! répondis-je à demi amusé par cette blague de très mauvais goût.

Elle dût sentir ma gêne et s’excusa.

·         Désolée ! répondit elle simplement

·         Tu sais que je ne t’en voudrais jamais ! ajoutais-je à son attention

Et pour argumenter mon propos, je me penchai vers elle afin de goûter ses délicieuses lèvres à la saveur fraise des bois.

Méline était quelqu’un d’adorable mais j’avais parfois l’impression qu’elle ne me comprenait pas suffisamment bien.

·         T’as passé une bonne journée ?

Je grimaçais et tournais la tête vers le lac. Je ne savais que très approximativement ce à quoi elle ressemblait. Rousse, des yeux verts pétillants et un sourire d’angelot. Je ne répondît pas à sa question, depuis quatre ans qu’on se connaissait, elle devait savoir que si je venais ici c’était pour échapper aux mauvaises journées.

Puis elle se pencha vers mon oreille et me murmura quelque chose qui me fît sourire. Une heure plus tard, nous étions chez elle allongé sur son canapé.

-          Tu viens au country Club ce week end? demanda t'elle en m'embrassant

Je n'avais pas envie de la repousser mais d'un autre côté j'avais comme un besoin d'espace. Je me relevais donc et la repoussais légèrement. Je n'étais pas quelqu'un de facile, j'en étais conscient et Méline le savait pourtant...

Elle soupira. Encore une fois elle avait oubliée que je détestais ces endroits à effusions financières exubérantes.

- Excuse-moi! fît elle

- C'est rien! dis je pour la consoler

Et comme pour m'excuser moi même de mon attitude je l'ai embrassé. D'abord avec hésitation puis plus fougueusement entreprenant de la caresser.

*

Quand ma voiture est passée me chercher, je n'ai pas fait attention au chauffeur. Sylni en changeait tout le temps. Je supportais mal cette nouvelle éventuelle belle mère. Elle n'avait pas encore passé la bague au doigt de mon beau père qu'elle entreprenait déjà de réorganiser notre vie. Pourtant il y en avait un d'irremplaçable.

- Carlo?! demandais-je

- Mr Hermes!

Je ne répondis pas, me contentant de monter par la porte qu'il m'ouvrait. Je me vautrais confortablement dans le cuir souple de cette mini maison roulante.

- Ramenez-moi chez moi! ordonnais je

- Désolé Monsieur, Mlle Sylni veut que vous la rejoigniez à la galerie marchande.

- Pardon? m'exclamais-je

- Je pense que vous devriez vous y rendre, cela peut considérablement augmenter vos rapports et vous n'en serez que plus stable dans votre relation.

Je réprimais un sourire tandis qu'une exclamation proche d'un rire résonna à l'arrière de la voiture.

- Je ne suis pas certain que vous soyez payé pour penser! Dis je méchamment en m'allongeant

Il me dévisagea à travers le rétroviseur avant de reprendre son sermon d'adulte coincé et ennuyeux.

- Vous voyez bien que je suis allongé alors cessez de me parler ou je vais m'endormir! dis-je afin de mettre un terme à cette conversation.

Je ne lui laissais pas l'occasion d répliquer. Faisant remonter la vitre de séparation, j'entrepris d'écouter un peu de musique.

Carlo avait l'habitude de me supporter, il était au service de mon père depuis quelques années déjà; à vrai dire depuis que j'étais devenu orphelin de mère.

 

Parvenu à l'entrée de la Galerie Marchande , je retrouvais ma belle mère. J'en avais une description assez succincte vu que je ne pouvais pas la voir en totalité, j'imaginais très bien comment elle était d'après ce qu'on m'en disait. Grande élancée, svelte et brune. Rien de très original. Je n'ai pas pu discuté; avant que j'ai pu dire quoique ce soit, elle m'avait déjà emmené vers une boutique.les "Trésors d'Appolon". Un magasin ou l'on vend des cannes, je le savais pour y être déjà venu avec mon beau père mais celui ci ne se décidait pas à comprendre que je n'en avais pas besoin.

- Alors Méhandr, une préférence? demanda t'elle de sa petite voix suave

- Je ne sais pas, il faudrait que je puisse voir pour en juger. dis-je cynique

Elle ne répondît pas et se contenta de m'acheter un modèle de bamboo verni. Pfff! le reste de la journée, nous l'avons passé à faire des achats enfin nous c'est surtout elle.

- Que penses-tu d'une cravate noire à rayures grises?

Ce que j'en pensais? Qu'elle pouvait se la mettre ou je pense ou même l'utiliser comme mouchoir pour effacer toute trace d'elle de ma vie.

Bref, je me souviendrais de cette journée comme de l'une des pires de ma petite vie. Et pour me venger d'avoir été affublé d'une canne, je décidais de concocter à ma façon une petite mesquinerie.

Au retour, nous avons pris la même voiture et là j'en profitais pour asseoir mon envie de l'écraser. Au moment ou elle s'apprêtait à monter, je tendis mon magnifique ustensile de vengeance entre ses chevilles, elle se vautra magnifiquement sur la moquette de la limousine.

- Un problème? demandais-je comme si je n'étais pas au courant

- Non ce n'est rien! fît elle un peu secouée.

Intérieurement je jubilais et encore ce n'était que le début. A mi chemin, j'eus une envie subite de me servir à boire dans le réfrigérateur, je tâtonnais avec le bout de ma canne et finis par lui broyer le petit orteil.

Elle poussa un cri qui me plu au plus au point.

- Pardon! Murmurais-je toujours aussi faussement

Elle me pria que ce n'était rien et nous rentrâmes. Elle n’avait pas fini de souffrir sous ma domination celle la.

Par Lyam
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Lundi 10 novembre 1 10 /11 /Nov 01:53

Luxure/3

J’achevais de prendre ma douche. J’adorais sentir l’eau frétiller sur moi. On frappa à la porte de ma chambre. Je passai rapidement une serviette et allai ouvrir.

Anis attendait devant la porte tête baissée. Elle tenait une enveloppe à la main et la voir vêtue ainsi de son habit de ménagère m’insufflait quelque douces pensées.

-     Ma maîtresse vous envoie ceci. Dit elle en me tendant le mot

Elle disparût la tête toujours baissée. Sa maîtresse me réservait elle le même sort ? Je m’asseyais sur mon lit décachetant l’enveloppe quand mon téléphone vibra. Céline m’annonçait qu’elle ne pouvait pas venir ce soir mais plutôt dans la journée du lendemain.

Cela voulait dire que la maison était vide. Seulement moi et ma dominatrice. Après m’être convenablement essuyé, je lus le message.

« N’as-tu jamais ressenti un désir ardent ? Le feu de la passion, une passion vivace. Je veux te faire connaître tout ça. Je t’ordonne de me combler, de te dévouer à moi seul. Je veux éprouver ta soumission, sentir ton corps écrasé par ma domination... »

Je me sentais incroyablement excité par ce message et m’endormis sur des pensées inavouables.

*

J’ouvris subitement les yeux ; il n’y avait plus de lumière dans ma chambre. Mon lit crissa sous l’effet d’un poids qui venait s’y ajouter.

C’est en tentant de capter ce nouveau corps que je me rendis compte qu’on m’avait menotté aux barreaux du lit. Ce corps gracile tira fermement sur la couverture du lit étalant ma nudité. Je sentîs alors ses fesses se poser contre mon sexe en phase d’érection. Je perçus son opulente poitrine contre mon visage tandis que son entrejambe gobait la mienne.

Je m’apprêtais à parler quand sa langue se noua à la mienne en un gémissement étouffé. Elle se déhanchait sur mon bassin faisant fougueusement onduler son corps.

Je ne pus retenir un cri qu’elle savoura. Ses dents se refermèrent sur ma lèvre inférieure en un léger mordillement.

J’étais partagé entre plaisir et douleur. J’avais une envie folle de la prendre par les hanches et d’approfondir cette pénétration.

Proche de l’extase, je poussai un cri. La pression de ses lèvres sur mon membre dur acheva de briser ma contenance, j’emplis sa bouche de mon sperme. Pleinement satisfait je considérais cette ombre qui se dirigeait vers ma tête pour me libérer.

-     Dors bien !

Je n’ai pas reconnu cette voix, peut être était ce dû à mon euphorie sexuelle. Je replongeais vaguement dans un sommeil profond.

**

Je me levais avec la sensation que tout cela ne fût qu’un rêve. Je me redressai et me dirigeais vers la fenêtre, j’y vis Safran assise sur la terrasse en train de petit déjeuner. Je pris alors conscience que depuis son arrivée je n’avais jamais eue de véritable conversation avec elle.

Elle avait un je ne sais quoi d’attirant, peut être ses yeux... Je lissais la vitre comme si il s’agissait de son visage que j’eusse caressé.

Je pris rapidement une douche et descendît la rejoindre. Elle ne m’adressa aucun signe d’intérêt.

-     Salut ! dis je en vue d’entamer une discussion

Elle me répondît avant de se servir un verre de jus de fruit. Décidemment, je me demandais si je parviendrais à nouer un contact avec elle.

-     Alors c’est quoi ton planning ? Tu reste pour les vacances c’est ça ?

-     Je reste !

Son ton froid et asocial me dissuada de poursuivre. Plus tard, j’appelais mon beau père afin qu’il me parle de cette étrangère. Il m’informa que ses parents étaient morts dans un banal accident de voiture et qu’il entamait les procédures pour l’adopter.

Je raccrochai peu rassuré de ses nouvelles informations.

 

Par Lyam - Publié dans : Slave (fini)/ SM
Ecrire un commentaire - Voir les 2 commentaires
Dimanche 9 novembre 7 09 /11 /Nov 23:09

Luxure/2

-     C’était qui déjà Diderot ? demandais-je à moitié assoupi

Céline soupira. J’y pouvais rien si les écrivains du 18ème siècle m’exaspéraient ; J’étais plus dans les contemporains dans le genre Stephen King ou Brenard Wherbhem. Peut être même du Paul Cohelo.

-     Pense Jacques le fataliste, l’Encyclopédie...

-     Je pensais qu’elle était de d’Alembert

-     Ouais y’a quelque résidus c’est déjà ça.

Je me laissais tomber sur le canapé, assise sur le tapis, Céline se massa les légèrement les yeux. Ses nouvelles lentilles de contact devaient la dérangé.

-     Tu veux à boire ? lui proposais-je

Elle opina. J’appelai le majordome, j’adorais ces réparties dès que je passais commande auprès de lui.

-     Monsieur à beuglé, demanda Gérard en entrant

-     Très drôle, apportez nous à boire s’il vous plaît.

Dès qu’il eût ramené les boissons, j’invitais mon amie à m’accompagner sur la terrasse. C’était un trop bel après midi pour rester à l’intérieur.

-     Pourquoi est ce qu’on travaille maintenant, On a tout le week end pour ça.

Elle tourna la tête et préféra aller s’allonger sur une chaise longue à l’ombre.

-     Mon père vient nous voir ce week end, je pensais m’incruster chez toi. Ta mère sera d’accord ?

Je réfléchissais. En temps normal, cela ne m’aurait pas dérangé, j’aurais même été ravi de passer la fin de semaine avec elle. Mais avec tout ce qui se passait durant l’absence de ma mère, j’avais prévu un programme particulier pour ces deux jours.

-     Alors ?

-     Euh non, ca ne devrait pas poser de problèmes.

Je tournais alors la tête pour regarder le chêne que mon père et moi avions cultivé ensemble ; nous passion la majorité de nos après midi sous cet arbre. Parfois on montait sur ses branches pour se cacher de maman. Elle était adorable ma mère.

Sortant peu a peu de ma nostalgie, je remarquais qu’elle était assise à l’ombre de mon chêne.  Elle nous regardait de son regard glacial. Comment n’avais pas pu la remarquer ?

Un frisson me parcourût quand je vis ses superbes yeux gris vert en fente. Ils m’évoquaient ceux d’un chat.

-     Qui est ce, me demanda Céline

-     C’est la nièce de mon beau père. Safran.

-     Ah...

J’en conclus qu’elle ne devait pas lui porter beaucoup d’intérêt.

-     On va la voir ?

-     Je ne préférerais pas. Je la trouve bizarre. Viens je te ramène chez toi faire le plein.

Elle acquiesça ; nous rentrâmes mais avant de refermer la vitre, je jetais un coup d’œil vers elle. Elle avait de magnifiques cheveux noirs...

Par Lyam - Publié dans : Slave (fini)/ SM
Ecrire un commentaire - Voir les 2 commentaires
Dimanche 9 novembre 7 09 /11 /Nov 22:58

Luxure/1

Je sentis une chaude et douce coulée de chocolat fondu sur mon sein tandis que sa langue caressante et sensuelle faisait frétiller mon corps.

Elle entreprît d’approfondir cet échange charnel en mordillant mon têton. Je ne pu résister, gémissant sous le poids de cette douleur douce.

Elle se releva, me jaugeant comme un être inférieur puis leva sa cuisse d’un sublime teint hâlé. Je sentis alors la pointe étroite de son talon s’enfoncer dans mon épaule.

-     Fais plaisir à ta maitresse ! me dit elle en posant sa tapette sur ma tête.

Je n’hésitais pas et laissais courir ma langue sur sa cheville et ses orteils veloutés. Je m’égarais et déposai un baiser sur sa peau magnifique.

Je ressentis bientôt une vive douleur à la mâchoire, d’un revers de jambes elle me fît basculer et posa violemment la plat de sa chaussure sur ma tête.

-     Plus jamais tu m’entends ?

Elle accentua la pression de sa godasse. Je ressentais le froid glacial du dallage mais tout autant la froideur qu’elle avait dans le cœur.

-     Je ne veux plus jamais que tu m’aimes ! je veux que tu me craignes, que tu me sois soumis, est ce clair ?

Je murmurais un pardon inaudible, incroyablement stimulé par cet échange. Je sentais la corde me démanger les poignets. Elle lâcha la chaîne qui entravait ma nuque et se dirigea vers sa chaise.

Ses fesses moulées dans son sado latex se déhanchaient tout en avançant. Elle prît place et écarta ses cuisses.

-     A quatre pattes, viens combler ta maîtresse. Dit elle avec un sourire

Embarrassé par mes liens, j’entrepris de la rejoindre elle et son entrejambe magnifique.

*

-     Merick ? Ouhou !

J’ouvris pesamment les yeux et découvrît la tête rousse de Céline. Elle souriait. Je ne la comprendrais jamais cette fille. Je m’étirais longuement, le cours fini.

Il faudrait que j’arrête mes activités nocturnes. Je me levais précédé de l’une de mes meilleures amies.

-     Tu dors mal ces temps ci ? s’inquiéta-t-elle

J’approuvais, je n’allais quand même pas lui révéler mes petits secrets.

-     Ca te dit qu’on le fasse ensemble ? me demanda-t-elle

-     Quoi ? m’étonnais-je

-     L’exposé de litté !

-     Ah.. ben ouais pourquoi pas ?

Elle s’arrêta un instant dans le couloir et me fixa.

-     A quoi tu pensais ?

-     A rien ! répondis-je avec un sourire

***********************************************************************

No coment sr cte fic lol. Laissez des com's mais Wiwi délirait un peu quand il a écrit ça ensuite il s'est dit que puisqu'il était déja manuscrit autant le taper que vous en porfitiez tous. lol 

Par Lyam - Publié dans : Slave (fini)/ SM
Ecrire un commentaire - Voir les 1 commentaires
Dimanche 9 novembre 7 09 /11 /Nov 22:56

7) Ca se précise…

- Pourquoi tu m’as appelé? Demanda Théos

Il se rendît compte qu’il venait de tutoyer son professeur. C’était sans doute dû aux fréquentes expériences qu’ils pratiquaient ensemble.

Circée l’invita à entrer dans le centre culturel. Elle l’installa et posa un livre en face de lui avant d’aller se saisir de son ordinateur portable.

- J’ai découvert quelque chose de plus précis sur l’origine de tes pouvoirs.

- Ah oui?

- Est-ce que tu contrôles les livres?

- Pardon?

- Les livres. Peux tu les mettre sous ton pouvoir? Les faire léviter, les exploiter. Je veux dire en prendre conscience?

- Non, je n’ai jamais essayé.

- Dans ce cas fixe ton attention sur ce livre et tentes de le saisir dans son intégralité.

Théos essaya mais ne réussît rien. Il ne parvînt même pas à se concentrer convenablement, les souvenirs des récents évènements lui revenait en tête.

- Désolé je n’y arrives pas.

- Mais tu n’as même pas essayé. Je veux dire je t’ai connu plus concentré.

- Je suis désolé, j’ai rendez vous. Avoua-t-il avant de s’en aller.

*

- T’es en retard! Dit Helena

Le jeune homme descendît de sa voiture et rejoignît son amie à l’entrée du refuge d’oiseaux.

Il s’agissait d’une vaste plaine de plus de deux hectares. Deux grandes constructions étaient disposés parallèlement l’une de l’autre. La première constituait la maison de Helena ou Théos avait appris qu’elle vivait seule avec son père.

- C’est ici qu’on a placé la fauconnerie. Mon père étudie les oiseaux le matin et les libères les après midis après avoir accroché une balise de repérage sur leurs pattes.

Il acquiesça avant d’entrer dans la salle. Quelques dizaines d’oiseaux divers planaient dans la pièce tandis que d’autre se compactaient dans leurs cages fatigués ou endormis.

- Ils sont magnifiques. J’adore celui-ci. Dît Théos en désignant un aigle de mer aux raies bleues parcourues de nervures vertes

Helena le siffla et donna à son ami une lanière de cuir pour se protéger le poignet.

Le magnifique animal vînt se poser sur la protection de la jeune fille et il pût apercevoir la boucle de platine que l’oiseau avait à la patte droite.

- Il s’appelle Bleu du Ciel. Je sais pas commun comme prénom mais je le trouve assez original. Pour un aigle de mer il s’approche rarement de l’océan et préfère les vertes prairies.

- Il te fait voir des présages? Demanda-t-il

- Qu’Est-ce qui te fait croire que je vois des présages? Je ne sais pas, une intuition c’est tout. Je ne comprends pas bien pourquoi, mais je sais que je peux te faire confiance.

- Ah oui? Tu dois accomplir quelque chose de grandissime alors pour penser que tu dois me confier quoique ce soit.

Théos cacha mal une grimace. Il devait avoir l’air bête le pauvre. Comment pouvait il espérer que cette fille puisse comprendre tout cela parce qu’elle élevait des aigles?

Théos relâcha l’oiseau et sortît un instant.

- Hé! Je suis désolé si je t’ai vexé. Dit elle. Tu es quelqu’un d’intelligent, j’en suis persuadée et tu ne peux pas confier tes secrets à qui veut bien t’accorder du temps.

- De quoi tu parles?

- De la prof de grec! Lâcha-t-elle

Théos marqua un temps de surprise avant de se rendre compte que Helena en savait bien plus qu’elle ne voulait l’admettre.

- Je vais te montrer, parce que je sais que je peux te faire confiance. N’Est-ce pas?

Il opina, elle pouvait être sûre de la confiance qu’il lui accordait.

Elle leva la tête vers le ciel et rabaissa son regard vers Théos.

Elle leva lentement les mains vers les nuages; aussitôt un souffle immense se propagea sur la plaine. Théos marqua un temps d’arrêt et se rendît compte que le ciel se mouvait en même temps que les mouvements de bras de Helena.

Le contrôle qu’exerçait celle-ci sur l’air paraissait total, les oiseaux avaient du mal à maintenir leur équilibre au gré du vent qui devenait de plus en plus fort.

Elle s’arrêta soudain et s’affaissa doucement sur le sol.

Le jeune homme se pencha vers elle pour l’aider à se relever. Elle commençait à pâlir.

- Ca va aller?

- Oui… je n’aurais pas dû faire ça aussi longtemps.

- Je ne comprends pas que tu puisses faire ça.

- Je sais aussi faire d’autres choses et tu peux me croire ce n’est pas un hasard si je suis ici. Il y a longtemps que j’ai pris conscience de mes capacités. Je ne sais pas grand-chose dessus mais je suis sûre d’une chose, c’est que c’est quelque chose qui dépasse l’entendement.

- Je ne sais pas si c’est une bonne idée d’avoir cette discussion. Dît il

- Que sais tu de tes dons? Demanda-t-il

- Je ne sais pas, pas grand-chose.

Elle se dégagea brusquement.

- Tu n’as pas confiance en moi! Affirma-t-elle

- Non, c’est juste que je ne sais pas. Je n’utilise que la langue de sphynge, je ne sais pas quoi faire d’autres.

- Pas fameux en effet.

Elle se redressa et marcha jusqu’à sa maison aidée de Théos. Elle s’assît sur le canapé avant de se servir un verre d’eau.

- Je ne vais pas te mentir, je suis plus doué que toi. Je sais parler le chant des sirènes et je manie l’esprit.

- Qu’Est-ce que c’est? Demanda-t-il

- C’est l’air. Je maîtrise l’air. Tu ne sais pas encore?

- Non pas vraiment… Circée tente de m’aider à comprendre mais ses expériences m’aident à progresser.

Helena soupira.

- Ce n’est pas l’impression que j’ai, tu tâtonnes. Tu ne restes que sur tes acquis.

Il baissa la tête mais ne tînt pas compte du cynisme d’Helena; il repensait à ce qu’elle disait au sujet de son pouvoir.

- Tu fais comme tu le sens, je veux bien t’aider mais c’est à toi de voir. Le voyage en Grèce prévoit beaucoup de choses Théos. Je ne suis pas là pour rien et je me prépares à ce que je vais trouver là bas. Car tu peux en être certain il n’y aura rien de bon.

Par Lyam - Publié dans : Fiction
Ecrire un commentaire - Voir les 1 commentaires

Présentation

  • : Méli Mélo de Lyam
  • Méli Mélo de Lyam
  • : yaoï yuri Histoires érotiques
  • : Petit coin détente, passion enfouie. Qui a dit que le sexe ce n'est pas aussi de l'amour? Les femmes entre elles, les hommes entre eux, pas de tabous juste des préférences. Et pourquoi pas... un peu de SM? Régalez vous, il y en a pour tous les goûts...
  • Partager ce blog
  • Retour à la page d'accueil
  • : 08/07/2008

Calendrier

Mai 2024
L M M J V S D
    1 2 3 4 5
6 7 8 9 10 11 12
13 14 15 16 17 18 19
20 21 22 23 24 25 26
27 28 29 30 31    
<< < > >>

Créer un Blog

Recherche

Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus